Auteur/autrice : Maie-Amandine Teixeira

  • La Journée Qui Fait BOOM, un Tremplin pour débuter sa vie professionnelle

    La Journée Qui Fait BOOM, un Tremplin pour débuter sa vie professionnelle

    Le 16 juin 2025, préparez-vous à vivre une journée exceptionnelle dédiée à l’insertion professionnelle des jeunes.
    Organisée par Woork et Moovjee, « La journée qui fait BOOM » est de retour pour une nouvelle édition riche en rencontres, ateliers et opportunités. 

    Woork : Votre allié pour un départ réussi dans la vie professionnelle

    Woork, le programme 100 % dédié aux jeunes pour les accompagner dans les premiers pas de leur vie professionnelle, vous donne rendez-vous pour booster votre recherche d’emploi ou votre début de vie professionnelle.
    Que vous ayez besoin d’un retour d’expérience pour trouver votre job ou vivre vos premières semaines/mois en entreprise en y trouvant tout ce que vous en attendiez, tout est prévu pour vous accompagner.

    Les Temps Forts de la Journée

    Des Partenaires à Vos Côtés
    Tout au long l’après-midi, des partenaires seront présents pour vous aider à :

    • Améliorer votre CV
    • Prendre une photo professionnelle
    • Vous préparer aux entretien

    L’occasion de réseauter, de repartir avec des contacts, et de faire décoller votre début de carrière avec des outils concrets !

    1- Mentorat Éclair pour les Jeunes en Recherche d’Emploi
    Participez à des sessions de mentorat éclair avec des mentors Woork.
    En 20 minutes, ces mentors vous aideront à :

    • Identifier vos points forts
    • Structurer votre discours pour les entretiens
    • Prendre confiance en vous

    Une opportunité unique pour tester le mentorat, poser vos questions et booster vos démarches !

    Je m’inscris

    Le Mentorat Éclair : Qu’est-ce que c’est ?
    Encore peu connu des jeunes salariés et pourtant, il peut changer une trajectoire professionnelle ! Le mentorat éclair, c’est une première rencontre de 20 minutes avec un mentor bénévole, salarié expérimenté, qui écoute votre parcours et vos questionnements et partagera son vécu pour vous éclairer.

    2- Mentorat Éclair pour les Jeunes en Emploi
    Venez rencontrer et échanger avec un salarié expérimenté pour découvrir le mentorat Woork et repartez avec un accompagnement personnalisé de 6 mois.
    Ces sessions vous permettront de :

    • Créer du lien avec votre manager et vos collègues
    • Bien gérer votre équilibre vie pro/vie perso
    • Prendre votre place dans l’entreprise

    Un premier emploi, c’est une vraie aventure à la Harry Potter ! Profitez de cette journée pour trouver votre Dumbledore.

    Je m’inscris

    Qui dit mentorat éclair, dit mentors engagés !
    Vous êtes ou avez été salarié·e.s et vous souhaitez partager votre expérience ?
    Vous avez 30 minutes, 1 heure ou plus à nous accorder ? Rejoignez l’aventure Woork et accompagnez un·e jeune qui débute à l’occasion de la journée BOOM.

    Je souhaite être mentor

    3- Atelier et Partage d’Expérience

    Venez participer à un atelier interactif avec la Maison de la Conversation, suivi d’un moment d’échange convivial. Vous y apprendrez à :

    • Créer du lien facilement (tout le monde n’a pas vu Harry Potter !)
    • Mieux communiquer avec tous vos nouveaux interlocuteurs
    • Renforcer votre confiance en vous dans un cadre professionnel

    “Maintenant j’arrive à partager mon point de vue et à donner mes priorités, ce que je n’arrivai pas à faire au départ”

    Imane, mentorée, en fin d’alternance dans la vente.

    “Du point de vue professionnel, c’était difficile de me mettre en valeur, de négocier un contrat, de poser mes limites, de communiquer avec mon patron.  Maintenant je sais à quoi m’attendre et comment réagir.”

    Valentin, mentoré, en CDI dans le BTP.

    4- Temps Dédié aux Acteurs de l’Insertion Professionnelle

    Un moment d’échange et de co-construction dédié aux acteurs engagés pour l’avenir des jeunes : équipes RH, établissements d’enseignement supérieur, associations, France Travail, collectivités territoriales… engagés ensemble, parce que l’inclusion et l’insertion des jeunes dans le monde professionnel est un véritable défi collectif.


    De l’orientation scolaire à la première expérience en entreprise, en passant par la recherche d’emploi et les dispositifs d’accompagnement, chaque étape compte.
    Ce temps de rencontre est conçu pour partager les expériences, confronter les pratiques et imaginer ensemble des actions concrètes.

    Objectifs de cette rencontre :

    • Mettre en lumière les freins rencontrés par les jeunes en début de parcours
    • Identifier et valoriser les bonnes pratiques existantes.
    • Coconstruire des engagements communs pour faciliter l’accès durable à l’emploi.

    Ensemble, transformons les bonnes intentions en actions concrètes. Construisons dès aujourd’hui les engagements de demain.

    Comment S’inscrire à la “Journée qui fait BOOM” ?

    Rien de plus simple : rendez-vous dès maintenant sur woork-mentorat.fr pour réserver votre place.
    📅 Date : 16 juin 2025
    📍 Lieu : Trianon
    Ne ratez pas cette chance unique de donner un coup d’accélérateur à votre vie professionnelle.

    « La journée qui fait BOOM » : le rendez-vous pour donner un coup d’accélérateur à votre vie professionnelle.

  • [Témoignage] Devenir mentor : un engagement personnel et professionnel qui fait la différence

    [Témoignage] Devenir mentor : un engagement personnel et professionnel qui fait la différence

    Dans un monde du travail en constante évolution, accompagner les jeunes dans leur prise de poste est un enjeu clé pour les entreprises. L’intégration des nouvelles générations d’actifs ne se limite pas à leur donner des outils techniques : il s’agit aussi de les aider à naviguer dans un environnement souvent complexe, où les codes ne sont pas toujours évidents. C’est dans cet esprit que Nicolas Dupont, cadre expérimenté, a choisi de devenir mentor au sein du programme Woork.

    À travers son témoignage, il partage son expérience et nous éclaire sur les bénéfices du mentorat, autant pour les jeunes professionnels que pour les mentors eux-mêmes.

    Un engagement citoyen pour transmettre et accompagner

    Pour Nicolas, le mentorat dépasse la simple relation d’accompagnement : c’est un véritable acte citoyen. Dans un monde où l’on peut facilement se sentir impuissant face aux grandes transformations économiques et sociales, devenir mentor et s’engager aux côtés des jeunes est un moyen concret d’agir.

    « Devenir mentor est une expérience qui me tenait à cœur depuis longtemps. Je souhaitais m’engager dans une mission à caractère social. À force de constats négatifs sur des sujets de grande ampleur, on a tendance à se sentir impuissant. Avec Woork, j’ai senti qu’on se donnait les moyens d’agir sur un enjeu sociétal majeur. »

    En partageant son expérience et en offrant un cadre d’écoute bienveillant, il contribue à la construction du monde professionnel de demain.

    Les avantages de devenir mentor en entreprise

    « L’implication des jeunes dans le monde de l’entreprise est l’un des piliers de la construction du monde de demain. Ils sont le moteur de la société ; les accompagner relève d’une action citoyenne. »

    Son engagement repose aussi sur une conviction personnelle : celle de redonner ce qu’il a reçu.

    « Quand je fais le bilan de ma vie professionnelle, je mesure la chance que j’ai eue. J’ai presque fait le tour du monde pour des missions à l’étranger. Ces opportunités, je les dois à mes études, à mon entourage, qui m’ont permis de m’épanouir personnellement et professionnellement. Il était important pour moi de redonner. »

    Devenir mentor, c’est trouver la bonne posture 

    Devenir mentor et accompagner un jeune professionnel ne signifie pas lui donner toutes les réponses. C’est plutôt l’aider à poser les bonnes questions, à prendre du recul sur ses expériences et à construire sa propre voie.

    « À la différence du coaching où l’on met beaucoup de côté ses émotions, en tant que mentor, on les utilise, on s’appuie dessus. On partage son histoire, on y met de soi et cela implique sa propre sensibilité. En cela, c’est une relation très authentique. »

    Mais devenir mentor ne s’improvise pas. Il faut trouver le juste équilibre entre transmission et écoute, sans tomber dans le piège du paternalisme.

    « Mon plus grand défi a été de ne pas tomber dans le côté grand-sachant paternaliste. Lors du premier entretien, je me suis surpris à avoir envie de parler à cette personne comme si j’étais son père. C’est vraiment quelque chose à surveiller pour le bénéfice de la relation. »

    C’est là que le cadre structurant de Woork prend tout son sens.

    « J’ai choisi ce programme pour cette raison. Le fait d’évoluer dans une relation cadrée avec Woork est clé. On peut faire appel à un mentor référent ou à l’équipe si on a le moindre doute sur la posture à adopter. Nous sommes là pour construire et cheminer ensemble dans une relation d’égal à égal. »

    En entreprise, cette approche est essentielle. Trop souvent, les jeunes professionnels n’osent pas exprimer leurs doutes ou leurs frustrations. Le mentorat leur offre cet espace d’échange indispensable.

    « Quand on parle de formation des jeunes, on englobe peu cette dimension. Ils n’ont pas souvent l’opportunité de partager ce qu’ils ressentent, que ce soit de la colère, de la frustration, du doute. C’est pourtant essentiel et ils n’ont pas la possibilité de s’en ouvrir sur leur lieu de travail. »

    Le mentorat : un éclairage précieux sur les nouvelles générations

    Le mentorat est aussi une opportunité pour les mentors eux-mêmes. Devenir mentor permet de mieux comprendre les attentes et les préoccupations des jeunes générations.

    « Être mentor m’apporte un éclairage sur la réalité du monde d’aujourd’hui. C’est un angle unique, de regarder ce qui se passe pour une personne qu’on accompagne. À travers les différents mentorés que j’aurai la chance de suivre, je vais essayer d’élargir ma carte du monde et de comprendre ce qui peut se passer dans la vie professionnelle des jeunes d’aujourd’hui. »

    Dans un contexte où les attentes professionnelles évoluent rapidement (recherche de sens, équilibre vie pro/perso, besoin d’autonomie…), cet échange intergénérationnel est une vraie richesse pour les entreprises.

    Un levier de développement personnel et professionnel

    Au-delà de l’accompagnement, devenir mentor est une expérience de développement personnel. Le mentorat permet d’améliorer ses compétences relationnelles, son écoute et sa capacité à guider sans imposer.

    « Le mentorat me permet de m’améliorer en management, en leadership, en communication interpersonnelle. Cela m’aide aussi à mieux comprendre les enjeux des uns et des autres. »

    Un bon mentor ne donne pas des solutions toutes faites, il aide son mentoré à les trouver par lui-même.

    « Mon objectif est de créer avec les mentorés les conditions de leur propre autonomie. Ils vont prendre possession des outils qui s’offrent à eux, commencer à prendre des décisions, avancer. Voir la personne se mettre en action, prendre conscience de son potentiel, les situations se débloquer, c’est très gratifiant. »

    Ce travail d’accompagnement s’appuie aussi sur une dimension émotionnelle forte.

    « Ils traversent les situations avec leurs propres émotions ; parfois avec joie mais aussi parfois avec beaucoup de colère, de tristesse. On peut essayer de remettre les choses en perspective. En tant que mentor, on a cette expérience de salarié et du recul sur le déroulement d’une carrière, sur les relations. On leur offre un espace, un moment dans lequel ils vont prendre du recul. »

    Dans un environnement professionnel où le stress et la pression sont omniprésents, ce rôle de facilitateur du recul est essentiel.

    « Son manager qui n’a pas répondu à un mail ne signifie pas qu’il est mis de côté ou ignoré. Nous parlons ensemble de la prise de recul nécessaire pour ne pas prendre de plein fouet des non-événements. »

    Devenir mentor : un engagement gagnant-gagnant

    Le mentorat, tel que le vit Nicolas Dupont, est bien plus qu’un simple transfert de savoirs. C’est une relation d’échange, où mentor et mentoré grandissent ensemble.

    Les entreprises ont tout à gagner à encourager ces dynamiques : elles permettent une meilleure intégration des jeunes, un engagement renforcé et un dialogue intergénérationnel plus fluide.

    Comme le souligne Nicolas :

    « La relation mentorale consiste à trouver l’équilibre entre le rapport empathique, bienveillant, authentique et professionnel. Construire cette posture est l’un des défis majeurs du programme. »

    En intégrant le mentorat dans vos pratiques, votre entreprise ne se contente pas de soutenir ses jeunes recrues : elle valorise également l’expertise de ses collaborateurs expérimentés et créent une culture d’apprentissage mutuel.

    Alors, et si vous aussi vous vous lanciez dans l’aventure du mentorat ?

  • [Témoignage] Comment le mentorat aide à se lancer dans la vie active

    [Témoignage] Comment le mentorat aide à se lancer dans la vie active

    Se lancer dans la vie active, c’est bien souvent faire un saut dans l’inconnu. Excitant, certes, mais aussi rempli d’incertitudes. Les premiers mois sont souvent faits de découvertes, de remises en question et parfois de moments de solitude face à des situations inédites. 

    Pour Wen, jeune chargé de communication, le mentorat a été une véritable bouée de sauvetage. Grâce au programme de mentorat Woork, il a pu naviguer plus sereinement dans cette nouvelle réalité professionnelle, poser toutes ses questions sans craindre de se faire juger et, surtout, prendre confiance en lui.

    « Grâce au mentorat, je me suis jeté dans le vide… mais avec un parachute. J’ai trouvé un espace de discussion sans jugement où je peux déposer mes ressentis, repartir plus confiant et chargé d’une bonne énergie. Un vrai safe space qui n’existe nulle part ailleurs. »

    À travers son témoignage, nous allons explorer les défis que rencontrent les jeunes actifs et voir comment le mentorat peut les aider à se lancer dans la vie active et à s’épanouir dans leur premier emploi.

    Décoder le monde de l’entreprise pour mieux se lancer dans la vie active

    L’une des premières difficultés lorsqu’on s’apprête à se lancer dans la vie active, c’est de comprendre les codes de l’entreprise. Les relations professionnelles, les attentes implicites de la hiérarchie, les jeux d’influence au sein d’une équipe… Tout cela ne s’apprend pas à l’école. 

    Nos conseils pour se lancer dans la vie active

    Pour Wen, cette adaptation était d’autant plus complexe qu’il est arrivé en France il y a seulement six ans :

    « Pour n’importe quel jeune, c’est déjà difficile d’apprendre les codes d’une entreprise. Quand on est étranger, c’est deux fois plus compliqué. Il faut intégrer les codes de la société, ceux de l’entreprise. Tout est nouveau et différent. C’est à la fois excitant et un peu déstabilisant. Le mentorat m’a aidé à mieux vivre ma prise de poste, à poser toutes les questions que je n’osais pas poser sur mon lieu de travail. »

    Ce besoin de décodage est partagé par de nombreux jeunes actifs. Selon une récente étude, 40 % des jeunes professionnels se sentent mal préparés aux réalités du monde du travail. C’est ici que le mentorat joue un rôle clé : en offrant un espace où l’on peut poser toutes ses questions sans crainte de jugement, il permet une meilleure compréhension de l’environnement professionnel et une intégration plus fluide dans sa nouvelle entreprise. 

    Prendre du recul sur les situations vécues

    Quand on va se lancer dans la vie active, chaque difficulté peut sembler insurmontable. Un conflit avec un collègue, une incompréhension avec son manager, une critique mal vécue… Ce sont autant de moments où le soutien d’un mentor peut faire toute la différence.

    « Le mentorat te permet d’avoir un regard extérieur sur des situations que tu vis en entreprise. Pour moi, la plus grande difficulté, c’est tout ce qui tourne autour de l’évolution professionnelle, de la posture à tenir, ce qu’on peut dire ou ne pas dire. Quand on fait des études, tout est très théorique. On sait faire un plan de communication, mais pas forcément défendre ses idées face à des collègues sceptiques. »

    Dans de nombreux cursus, mais aussi au sein de nombreuses entreprises, le manque de formation aux soft skills peut être un frein à l’évolution des jeunes recrues. Et pourtant : une enquête de l’OCDE montre que la majorité des employeurs considèrent que les compétences relationnelles et la capacité d’adaptation sont aussi importantes que les compétences techniques. Grâce au mentorat, Wen a pu apprendre à mieux gérer les critiques, à adapter sa communication et à trouver des solutions adaptées aux défis du quotidien.

    Gagner en confiance et surmonter le syndrome de l’imposteur

    L’un des plus grands défis des jeunes actifs qui viennent de se lancer dans la vie active est souvent le manque de confiance en soi. Selon une étude de KPMG, 75 % des femmes et 50 % des hommes ressentent le syndrome de l’imposteur au début de leur carrière.

    « Je me disais souvent “Je ne m’en sors pas, je ne suis pas fait pour ça.” Ma mentore me remettait les idées en place sur ma valeur, mes capacités, le chemin parcouru. En réunion, je n’osais pas prendre la parole. Je prenais très à cœur le moindre commentaire. Grâce à elle, j’ai réussi à proposer des idées, à m’ouvrir aux remarques. »

    Le mentorat permet d’avoir un miroir bienveillant qui aide à relativiser les difficultés et à progresser. Comme l’a constaté Wen, un mentor peut jouer un rôle clé dans le développement de l’estime de soi et la prise d’initiative.

    Se lancer dans la vie active : apprendre à affirmer ses besoins et à poser ses limites

    Dans le monde du travail, savoir s’affirmer est essentiel. Pourtant, beaucoup de jeunes professionnels ont du mal à exprimer leurs attentes et à dire non lorsqu’une situation ne leur convient pas.

    « Le mentorat m’a permis de prendre conscience que mes managers ne pouvaient pas anticiper tous mes besoins. C’était à moi de les faire connaître. Apprendre à dire non, poser des limites… Il y a une façon de le faire. C’est difficile et souvent on le fait maladroitement. Ma mentore m’a poussé à trouver des manières posées d’exprimer mes ressentis. »

    Un bon mentor encourage son mentoré à prendre du recul et à adopter une posture plus affirmée. Dans le cas de Wen, ce travail lui a permis de mieux communiquer avec son manager et de créer une relation plus fluide et équilibrée.

    Conclusion : le mentorat, un tremplin vers l’autonomie

    L’expérience de Wen illustre bien les défis auxquels sont confrontés les jeunes actifs et l’impact positif qu’un programme de mentorat peut avoir pour ceux et celles qui vont se lancer dans la vie active. En offrant un espace de dialogue, d’écoute et de soutien, le mentorat permet aux jeunes professionnels de mieux comprendre leur environnement, de gagner en confiance et de prendre en main leur carrière plus sereinement.

    Comme le dit Wen :

    « Sans ma mentore, je n’aurais jamais osé proposer un déjeuner à mon manager, m’ouvrir sur certaines difficultés ou suggérer des solutions qui allaient dans mon sens. Ça a très bien fonctionné. »

    Se lancer dans la vie active avec un mentor à ses côtés 

    Pour les entreprises , intégrer un programme de mentorat comme Woork ne remplace pas le rôle du manager, mais vient, en complément, renforcer l’accompagnement des jeunes recrues. Une initiative gagnante pour tous : les mentorés évoluent plus rapidement, les collaborateurs plus expérimentés prennent du recul sur leurs pratiques et l’organisation fidélise mieux ses nouvelles recrues

    Et vous, comment accompagnez-vous vos jeunes recrues dans leurs premiers pas professionnels ? 

    Optimisez votre programme de mentorat avec Woork !

  • Démarches pour bénéficier de la prime d’activité : les 7 étapes à suivre

    Démarches pour bénéficier de la prime d’activité : les 7 étapes à suivre

    Obtenir la prime d’activité, ça peut parfois ressembler à un vrai casse-tête : des démarches à rallonge, des formulaires sans fin… Mais pas de panique, on est là pour vous simplifier la vie ! Dans cet article, on vous guide pas à pas pour tout comprendre et faire les démarches pour bénéficier de la prime d’activité en un rien de temps. Suivez le guide ! 

    Étape 1 : Préparez vos documents pour réaliser les démarches pour bénéficier de la prime d’activité

    Avant de commencer, rassemblez les informations nécessaires pour demander la prime d’activité. Vous aurez besoin de : 

    • Vos identifiants CAF ou MSA (selon votre régime).
    • Vos bulletins de salaire ou preuves de revenus des 3 derniers mois (y compris si vous touchez une pension ou des allocations, etc.).
    • Les revenus de l’ensemble de votre foyer (si vous êtes en couple ou vivez avec d’autres personnes).
    • Un justificatif de logement (sur lequel est indiqué le montant du loyer ou de l’hébergement).

    Étape 2 : Connectez-vous au bon site

    Pour demander la prime d’activité, rendez-vous sur le site de la CAF (caf.fr) ou de la MSA (pour les travailleurs agricoles). Puis cliquez sur « Demander la prime d’activité » dans votre espace personnel.

    Source : Aide-sociale

    Pas encore inscrit(e) ? Créez votre compte avec votre numéro d’allocataire ou vos informations personnelles.

    Étape 3 : Faites une simulation (optionnel mais recommandé)

    Utilisez le simulateur sur le site de la CAF ou de la MSA pour vérifier rapidement si vous êtes éligible et avoir une estimation du montant auquel vous avez droit.

    Étape 4 : Remplissez votre demande pour obtenir la prime d’activité

    Une fois connecté(e) à votre espace personnel sur le site de la CAF ou de la MSA, suivez ces étapes pour remplir votre demande sans rien oublier :

    1. Suivez les instructions affichées dans votre espace personnel

    • Après avoir cliqué sur « Demander la prime d’activité », un formulaire détaillé s’ouvre.
    • Lisez attentivement les explications à chaque étape. Des encarts d’aide sont souvent proposés pour vous guider. N’hésitez pas également à lire la FAQ ou à utiliser l’aide en ligne de la CAF/MSA pour faciliter votre demande de prime d’activité. 
    Démarches pour bénéficier de la prime d'activité

    Source : CAF

    2. Renseignez vos revenus des 3 derniers mois

    Les revenus pris en compte pour le calcul de la prime d’activité sont :

    • Les salaires ou revenus professionnels : Indiquez les montants nets imposables figurant sur vos bulletins de paie. Si vous êtes indépendant(e), renseignez votre chiffre d’affaires trimestriel ou vos bénéfices.
    • Vos autres revenus : Par exemple une pension alimentaire, des indemnités journalières (en cas d’arrêt maladie ou de congé maternité), vos rentes, etc. 
    • Les prestations sociales perçues : Mentionnez le montant de votre APL ou toute autre aide déjà reçue.

    Source : Aide-sociale

    Notre conseil : Faites attention à ne pas confondre montant brut et net imposable (c’est ce dernier qui est demandé).

    3. Ajoutez les informations relatives à votre logement

    Dans cette section, vous devrez :

    • Indiquer le montant de votre loyer mensuel (sans inclure les charges).
    • Préciser si vous recevez des aides au logement, comme l’APL (le montant exact vous sera demandé).
    • Mentionner si vous partagez votre logement (colocation) et dans ce cas, le nombre de colocataires.

    Notre conseil : Si vous êtes en colocation, ne déclarez que votre part du loyer, pas le loyer total.

    4. Vérifiez toutes les données avant de valider

    Avant de cliquer sur « Valider », prenez le temps de bien vérifier : 

    • Les montants renseignés (revenus, aides, loyer).
    • Les informations sur votre situation familiale (nombre d’enfants, statut en couple ou célibataire).
    • Votre RIB : assurez-vous que vos coordonnées bancaires soient correctes pour éviter des retards de paiement (ce serait dommage !).

    Notre conseil :  Vérifiez vos chiffres une seconde fois : une erreur sur les montants ou une case mal cochée peut entraîner un rejet ou un recalcul défavorable de votre prime.

    5. Validez et recevez votre confirmation

    Une fois validée, votre demande est envoyée pour traitement. Vous recevrez un accusé de réception dans votre espace personnel. Ce document confirme que votre dossier est en cours d’étude.

    Étape 5 : Suivez l’avancement de votre dossier

    Une fois votre demande de prime d’activité déposée, vous recevrez une confirmation dans votre espace CAF/MSA. Le traitement prend généralement 2 à 4 semaines. Lorsque votre demande sera validée (ce qu’on espère pour vous !), vous en serez informé par email ou courrier. 

    Étape 6 : Recevez votre prime d’activité

    Une fois acceptée, la prime d’activité sera versée directement sur votre compte bancaire tous les mois, généralement autour du 5 du mois suivant.

    Et après ?

    Etape 7 : Actualisez vos revenus pour continuer de recevoir la prime d’activité

    Vous pensiez que c’était fini ? Mauvaise nouvelle : les démarches pour bénéficier de la prime d’activité ne s’arrêtent pas au dépôt de votre dossier. Vous allez devoir actualiser votre situation tous les 3 mois. Et oui, garder votre dossier à jour est indispensable pour rester en règle et éviter les interruptions de versement de la prime d’activité. 

    Pourquoi actualiser vos revenus ? Non seulement pour vérifier que vous êtes toujours éligible, mais aussi pour ajuster le montant de la prime en fonction des variations de vos revenus ou de votre situation familiale. 

    Par exemple, si vos revenus augmentent ou baissent (suite à un nouvel emploi ou à une baisse d’activité pour les indépendants), le montant de la prime d’activité peut être réévalué à la hausse ou à la baisse.

    Pensez donc à signaler sans attendre

    • Un changement professionnel : Nouvel emploi, perte d’emploi, augmentation ou baisse significative de vos revenus.
    • Un changement familial : Mariage, séparation, naissance ou départ d’un enfant.
    • Mais aussi un changement de logement : déménagement, colocation, modification du loyer ou de l’APL.

    Comment actualiser vos revenus ?

    Voici la marche à suivre pour effectuer votre déclaration trimestrielle ou signaler un changement :

    a) Déclaration trimestrielle des revenus

    1. Connectez-vous à votre espace personnel sur le site de la CAF (caf.fr) ou de la MSA.
    2. Cliquez sur l’onglet « Mes démarches en ligne » ou « Déclarer mes ressources trimestrielles ».
    3. Indiquez :
      • Vos revenus professionnels des 3 derniers mois (salaire, revenus d’activité indépendante).
      • Les autres ressources perçues (pensions alimentaires, indemnités journalières, prestations sociales, etc.).
    4. Validez votre déclaration une fois tous les champs remplis.

    b) Signaler un changement de situation

    1. Allez dans l’onglet « Modifier mon profil » ou « Signaler un changement ».
    2. Sélectionnez la nature du changement (situation professionnelle, familiale ou logement).
    3. Complétez les informations demandées et joignez, si nécessaire, des justificatifs (par exemple, un contrat de travail ou un justificatif de mariage).

    Important : Tout retard dans la déclaration ou le signalement d’un changement peut entraîner une suspension de la prime d’activité ou une demande de remboursement en cas de trop-perçu.

    Quelques conseils pratiques pour éviter les soucis

    Vous voulez éviter les soucis avec la CAF ? On vous invite à : 

    • Programmer des rappels dans votre agenda ou votre téléphone pour ne pas oublier vos déclarations trimestrielles.
    • Consultez régulièrement votre espace personnel sur le site de la CAF ou de la MSA pour vérifier vos informations.
    • Conservez tous vos justificatifs pendant au moins un an en cas de contrôle ou de besoin de rectification.

    Et voilà, vous avez toutes les cartes en main pour bénéficier de la prime d’activité ! Il ne vous reste plus qu’à commencer les démarches pour bénéficier de la prime d’activité et vous pourrez rapidement profiter de ce coup de pouce financier. 

    Et pour vous accompagner tout au long de votre entrée dans la vie active, n’hésitez pas à faire appel à une personne qui est déjà passée par les mêmes étapes que vous. Nos mentors vous partagent leur expérience et vous offrent une autre perspective de la vie professionnelle, pour naviguer plus facilement dans cette nouvelle aventure !

    Je trouve mon mentor !

  • C’est quoi le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) et comment en bénéficier ?

    C’est quoi le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) et comment en bénéficier ?

    Entrer dans le monde du travail quand on est jeune, c’est à la fois un défi et une source d’excitation. C’est un moment où l’appréhension se mêle à l’enthousiasme : l’angoisse de ne pas trouver le poste idéal, de se confronter à la réalité du marché, mais aussi l’envie de se lancer dans une aventure nouvelle, de découvrir des horizons professionnels, de bâtir son indépendance financière, etc.

    Pour accompagner vos premiers pas en tant que jeune actif, des dispositifs tels que le Contrat d’Engagement Jeune ont été mis en place. Dans cet article, nous vous expliquons ce qu’est le CEJ, qui peut en bénéficier, comment y accéder. En bonus, on vous explique aussi comment le compléter avec un programme de mentorat pour maximiser vos chances d’insertion professionnelle.

    Qu’est-ce que le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) ?

    Le Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) est un dispositif destiné aux jeunes de 16 à 29 ans en situation de précarité, afin de les accompagner vers un emploi durable. Mis en place par l’État en 2022, ce dispositif vise donc à aider les jeunes sans emploi ni formation à retrouver un parcours professionnel adapté à leurs besoins.

    Ce qui fait la particularité du CEJ, c’est :

    • Son suivi personnalisé : Le jeune bénéficie d’un accompagnement renforcé avec des rendez-vous réguliers (environ une fois par mois) avec un conseiller. Ces échanges lui permettent de définir des objectifs de recherche d’emploi et de formation.
    • L’engagement de l’État : L’État s’engage à offrir au jeune des solutions concrètes, telles que des formations, des ateliers, des offres d’emploi ou de stage pour l’aider à s’épanouir dans le monde du travail. 
    • Son accompagnement renforcé avec des acteurs locaux : Ce dispositif se construit également en collaboration avec les collectivités territoriales, et des acteurs comme les missions locales, Pôle emploi ou d’autres structures locales.

    Les jeunes bénéficiaires du CEJ peuvent également toucher une aide financière mensuelle, dont le montant est calculé en fonction de leur situation personnelle (leur niveau de ressources et projet professionnel). Cette dernière peut aller jusqu’à 552,29 € par mois. 

    Pour en savoir plus et estimer les aides auxquelles vous avez droit, n’hésitez pas à vous rendre directement sur le site du Ministère du Travail

    Qui peut bénéficier du CEJ ?

    Le Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) s’adresse aux jeunes de 16 à 29 ans qui sont en situation de précarité et rencontrent des difficultés d’insertion professionnelle. 

    Pour être plus précis, les bénéficiaires du CEJ sont les jeunes :

    • Sans emploi : C’est-à-dire qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en étude.
    • En situation de vulnérabilité : Cela inclut des jeunes qui, par exemple, n’ont pas terminé leur scolarité, ou qui sont dans une situation de décrochage scolaire ou professionnel.
    • Sans solution : Les jeunes qui n’ont pas trouvé d’opportunités pour entrer dans un parcours de formation, un emploi stable ou un contrat d’apprentissage.

    Pour résumer, le CEJ est destiné aux jeunes en difficulté d’insertion professionnelle et qui nécessitent un accompagnement personnalisé pour trouver une solution adaptée à leurs aspirations et capacités professionnelles. Le CEJ donne donc un nouvel élan à vos ambitions, en vous permettant d’aller vers l’autonomie financière et la stabilité qui vous permettront de développer tous vos projets. 

    Comment bénéficier du Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) ?

    Vous êtes éligible au CEJ ? Voici les démarches à suivre pour en bénéficier : 

    1. Inscription auprès d’un organisme compétent : La première étape consiste à vous inscrire auprès de Pôle emploi (aujourd’hui France Travail) ou de la Mission Locale (ou toute autres structures locales d’insertion professionnelle). .
    2. Entretien avec un conseiller : Après l’inscription, vous allez rencontrer un conseiller qui évaluera votre situation ainsi que vos besoins. Ce premier entretien permet de définir les objectifs d’accompagnement et de mettre en place un suivi personnalisé, avec des rendez-vous réguliers (en fonction de vos disponibilités). 
    3. Élaboration du plan d’action personnalisé : Avec votre conseiller, vous allez définir un parcours personnalisé qui peut inclure des formations, des sessions de recherche d’emploi, des stages, des ateliers, ou des mises en situation professionnelle.
    4. Engagement et suivi : Une fois le CEJ signé, vous vous engagez à suivre le programme mis en place avec votre conseiller. Le suivi se fait sur une base mensuelle et des bilans sont réalisés pour ajuster votre parcours, si nécessaire.

    Et si vous êtes une entreprise qui souhaite accueillir un ou plusieurs jeunes dans le cadre du CEJ, il faut : 

    1. S’inscrire auprès des acteurs compétents : Rapprochez-vous de France Travail ou de votre Mission Locale pour savoir comment intégrer des jeunes dans ce programme.
    2. Proposer des opportunités : Vous pourrez ensuite proposer des offres de stage, de formation en alternance ou d’emploi à des jeunes inscrits dans le dispositif.
    3. Collaborer avec le jeune et le conseiller : Ensemble, vous allez définir un parcours de formation ou signer un contrat d’apprentissage, de manière à ce que le jeune puisse acquérir des compétences concrètes et adaptées aux besoins de votre entreprise.
    4. Suivi et accompagnement : Une fois le CEJ signé, votre entreprise doit accompagner activement le jeune dans son parcours, en lui offrant des missions qui lui permettront de développer ses compétences et en échangeant régulièrement avec le conseiller pour faire un point sur son évolution. 
    5. Contacter l’équipe Woork pour découvrir comment compléter le dispositif du CEJ en proposant du mentorat à vos jeunes recrues.

    CEJ et mentorat : comment les deux dispositifs se complètent ?

    Le Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) et le mentorat sont deux dispositifs complémentaires qui peuvent travailler ensemble pour offrir une expérience d’accompagnement enrichissante pour les jeunes. 

    Le mentorat pour compléter un CEJ (Contrat d'Engagement Jeune)

    Tandis que le CEJ se concentre principalement sur l’insertion immédiate dans le monde du travail, le mentorat ajoute une dimension humaine et stratégique. Le mentor partage au jeune son vécu et lui offre un accompagnement et des perspectives supplémentaires pour l’aider à construire sa carrière sur le long terme. 

    “Honnêtement, je ne pensais pas en retirer autant de bienfaits. Nora m’a vraiment aidé à trouver les moyens de m’affirmer, de croire en moi et de ne pas me résigner face aux difficultés.” Clara, mentorée. 

    Le programme Woork est un excellent exemple de ce que peut apporter un mentorat structuré pour les jeunes, en complément du CEJ : 

    • Un suivi de qualité : Woork vous permet de matcher avec des mentors expérimentés dans différents domaines professionnels. Ces derniers partagent leurs connaissances, leurs réseaux et leurs expériences avec les jeunes actifs pour les aider à mieux comprendre les attentes du monde du travail.
    • Un accompagnement à long terme : En plus du suivi régulier offert par le CEJ, vous allez bénéficier de conseils sur la gestion de votre carrière, la prise de décision, le développement de compétences ou encore l’élargissement de votre réseau professionnel.
    • Une approche flexible : Le programme de mentorat Woork est personnalisé selon vos besoins, en tenant compte de vos aspirations professionnelles et des défis qui vous sont propres.

    Le mentorat permet donc de compléter les objectifs immédiats du CEJ en offrant une perspective plus longue et des conseils pratiques qui ne sont pas toujours inclus dans le suivi formel du CEJ.

    Je trouve mon futur mentor !

  • Gérer une rupture de contrat : modalités et indemnités

    Gérer une rupture de contrat : modalités et indemnités

    Quand on commence un nouveau travail, on ne pense généralement pas à la fin de son contrat. On se concentre sur les nouvelles opportunités, les projets à venir et l’intégration dans son équipe (avec l’accompagnement d’un mentor dans le meilleur des cas). Pourtant, la rupture de contrat est une réalité que vous devez garder à l’esprit, car une collaboration professionnelle peut s’arrêter pour de nombreuses raisons : évolution de carrière, désaccords ou même des circonstances indépendantes de votre volonté.

    Ce n’est pas une situation que l’on espère, mais bien s’y préparer permet de gérer cette étape de manière constructive et sereine, pour qu’elle se termine dans les meilleures conditions possibles, autant pour vous que pour votre employeur.

    Dans cet article, nous allons explorer les différentes formes de rupture de contrat et leurs implications. L’objectif ? Vous donner toutes les clés pour prendre une décision éclairée et alignée avec vos intérêts personnels et professionnels.

    Les différentes types de rupture de contrat 

    Il existe plusieurs formes de rupture de contrat, en fonction de qui en est à l’initiative et du niveau de consentement entre l’employé et l’employeur. Voici donc un panorama des principaux types de ruptures auxquelles vous pouvez être confrontées dans votre vie professionnelle. 

    I. À l’initiative de l’employé

    Le premier cas de figure, c’est la rupture de contrat dont vous êtes à l’initiative. La plus courante est la démission, c’est à dire quand l’employé met fin à son contrat de manière volontaire et unilatérale. Dans ce cas précis, il n’a pas à justifier sa décision, mais doit néanmoins respecter le préavis (soit le délai minimum entre la notification de la rupture et la date de fin du contrat), qui varie en fonction de la nature du contrat. 

    Type de contratDurée de préavis (en général)
    CDI
    1 à 3 mois selon la catégorie professionnelle et les conventions collectives
    CDD1 jour par semaine restante (max. 2 semaines), uniquement pour un CDI ou accord mutuel
    StagePas de durée légale, mais 1 à 2 semaines recommandé

    Alternance
    0 à 45 jours (période d’essai) ; après, conditions spécifiques et souvent négociées

    Dans tous les cas, on vous conseille de vérifier votre contrat de travail et votre convention collective pour bien connaître votre délai de préavis ainsi que les règles spécifiques à votre entreprise. 

    En cas de démission légitime (pour cause de déménagement par exemple ou lorsque votre salaire ne vous a pas été versé), vous pouvez bénéficier de l’assurance chômage. Dans le cas contraire, votre employeur n’aura pas à verser d’indemnité (sauf cas de clause spécifique dans le contrat).

    Pour déclencher la rupture du contrat en CDI, vous devrez en informer votre employeur, de préférence par le biais d’un écrit remis en main propre ou envoyé par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR).

    II. À l’initiative de l’employeur

    La rupture du contrat peut aussi être décidée unilatéralement par votre employeur. Les deux principaux cas de figure sont : 

    1. Le licenciement

    L’employeur met fin au contrat pour des raisons précises, qui doivent vous être communiquées. Il peut s’agir d’un motif personnel : 

    • Faute simple : Insuffisance professionnelle, absences répétées.
    • Faute grave : Manquement sérieux aux obligations du salarié (ex. : vol, insubordination).
    • Faute lourde : Faute intentionnelle ayant causé un préjudice important à l’employeur.

    Le licenciement peut aussi avoir un motif économique et faire suite aux difficultés de l’entreprise, à une transformation technologique ou à une réorganisation du travail pour préserver sa compétitivité. 

    Dans les deux cas, le licenciement suit la même procédure, à savoir un entretien préalable avec l’employé, une notification écrite précisant le motif du licenciement, le respect du préavis (sauf en cas de faute grave ou lourde) et le versement d’une Indemnité (l’indemnité légale de licenciement, l’indemnité compensatrice de préavis ainsi que les congés payés). 

    2. La rupture de contrat pour inaptitude

    La rupture du contrat peut aussi être enclenchée lorsque le salarié est déclaré inapte par la médecine du travail. Il peut s’agir d’une inaptitude physique ou mentale l’empêchant de remplir les fonctions de son poste. 

    Avant de lancer la procédure de rupture de contrat, votre employeur sera néanmoins obligé de chercher une éventuelle opportunité de reclassement. Si cette dernière est impossible, votre contrat sera rompu et vous recevrez des indemnités. 

    III. Les autres types de rupture de contrat

    Votre contrat peut également être rompu d’un commun accord. On parle alors de rupture conventionnelle, qui doit être formalisée par un accord écrit et respecter la procédure administrative (soit une validation par la DREETS – Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités). L’avantage, c’est que vous aurez le droit à l’allocation chômage (au moins égale à l’indemnité légale de licenciement, mais elle peut aussi être renégociée) et que votre employeur évite tout risque de contestation. Si vous envisagez cette option, prenez le temps de bien vous informer sur vos droits, de préparer votre argumentaire et, si besoin, de vous faire accompagner par un conseiller juridique ou un représentant du personnel.

    La rupture de contrat peut aussi être déclenchée indépendamment de la volonté des deux parties. On parle alors de rupture pour force majeure lorsqu’une situation extérieure, imprévisible et insurmontable rend impossible la poursuite du contrat. Dans ce cas, elle est immédiate et ne vous donne pas droit à des indemnités. 

    La rupture de contrat peut aussi être décidée par la justice (suite à une saisine du Conseil de Prud’hommes en raison de fautes graves de l’employeur. Si elle est validée, elle donnera lieu à des indemnités similaires à un licenciement sans cause réelle et sérieuse, mais si elle est refusée, l’employé sera contraint de continuer son contrat (ou de démissionner). 

    6 conseils pour “réussir” sa rupture de contrat 

    Que vous envisagiez de mettre fin à un contrat ou que vous soyez confronté à une décision prise par votre employeur, nous vous partageons 6 conseils pour gérer cette situation de la  manière la plus sereine possible et réussir votre transition. 

    Comment négocier sa rupture de contrat : modalités, conséquences

    1. Comprenez vos droits et vos options. Avant toute démarche, informez-vous sur les différents types de rupture de contrat possibles et leurs implications. Lisez bien votre contrat de travail et renseignez-vous sur la législation (en consultant le Code du Travail ou en demandant l’avis d’un conseiller en droit du travail). 

    2. Communiquez avec transparence et professionnalisme. Si vous initiez la rupture, expliquez calmement vos raisons et discutez avec votre employeur pour envisager une solution qui convienne à toutes les parties. Si vous la subissez, restez professionnel et demandez des explications précises pour comprendre les motifs. 

    3. Négociez les conditions de la rupture de contrat. Vérifiez si vous avez droit à des indemnités de rupture, discutez d’un éventuel raccourcissement de votre préavis si vous souhaitez partir rapidement et demandez une lettre de recommandation ou un feedback constructif pour vos futurs projets.

    4. Prenez soin de vos intérêts administratifs. Demandez vos documents de fin de contrat, anticipez vos droits au chômage et couvrez-vous en cas de litige.

    5. Préparez la suite et terminez sur une note positive. La fin d’un contrat est une opportunité pour tourner la page et avancer vers un nouvel objectif. Prenez donc le temps de planifier votre transition et faites votre maximum pour garder de bonnes relations avec votre employeur et vos collègues. 

    6. Faites-vous accompagner par un mentor ou un conseiller. Un mentor expérimenté pourra vous guider dans les démarches à suivre et vous aider à peser le pour et le contre de vos décisions. Son soutien moral peut aussi vous permettre de prendre du recul et  de rester concentré sur vos objectifs futurs. D’ailleurs, le suivi d’un mentor, dès le début de votre contrat, peut vous éviter la rupture !

    Réussir votre rupture de contrat, cela demande avant tout de bien vous informer, préparer votre départ et communiquer le plus ouvertement possible avec votre employeur. Pour ne pas succomber au stress que cela implique et vous assurer une transition en douceur, faites appel à un mentor. Il pourra vous aider à transformer cette épreuve en une opportunité positive pour votre avenir pro !

    Je trouve un mentor

  • C’est quoi une bonne candidature : nos conseils pour réussir son CV quand on est un jeune actif

    C’est quoi une bonne candidature : nos conseils pour réussir son CV quand on est un jeune actif

    Postuler à son premier job, c’est un peu comme swiper sur une appli de rencontre : il faut attirer l’attention en quelques secondes… sans en faire trop ! Pas facile de se vendre quand on débute et qu’on a l’impression de ne pas avoir grand-chose à raconter. Mais bonne nouvelle : même sans expérience pro, vous avez déjà plein d’atouts à mettre en avant.

    Pas de panique, ici pas de poudre aux yeux ni de CV gonflé à l’extrême ! On vous donne des conseils concrets pour une bonne candidature qui tape dans l’œil des recruteurs, en restant 100 % authentique. 

    C’est quoi une bonne candidature ?

    Une bonne candidature, c’est celle qui donne envie au recruteur de vous rencontrer. Simple en théorie, mais en pratique… ça veut dire quoi ? Voici les critères essentiels à respecter pour que votre CV et votre lettre de motivation sortent du lot et vous décrochent un entretien, voire votre premier job !

    Comment rédiger un bon CV ou une bonne lettre de motivation

    1. Un CV clair, lisible et bien structuré

    Un recruteur passe en moyenne 30 à 45 secondes sur un CV. Autant dire qu’il faut aller à l’essentiel !

    Ce qu’il faut faire :

    Un design simple et aéré : pour une bonne candidature, évitez les couleurs trop flashy et les polices originales, mais illisibles.
    Des rubriques bien distinctes : Infos perso – Formation – Expériences – Compétences – Centres d’intérêt.
    Une seule page : sauf cas exceptionnel, un CV doit tenir en une feuille A4 max.

    Et si on n’a pas d’expérience pro ?
    Mettez en avant vos stages, projets scolaires, bénévolat, jobs d’été, associations. Tout compte !

    2. Une bonne candidature adaptée au job visé

    Un CV générique, c’est comme un message copié-collé : ça ne fonctionne pas ! Les recruteurs veulent avoir la sensation que vous avez bien lu la fiche de poste et que votre candidature est ciblée. 

    Ce qu’il faut faire :
    ✔ Personnalisez votre CV et votre lettre en fonction de l’offre : mettez en avant les expériences ou compétences en lien avec le poste.
    ✔ Adaptez l’intitulé de votre CV au job visé (comme par exemple : « Assistant Marketing Junior »).
    ✔ Utilisez les bons mots-clés : reprenez ceux de l’annonce pour que votre CV soit bien repéré (surtout si la boîte utilise un logiciel de tri automatique).

    3. Une lettre de motivation qui donne envie de vous rencontrer

    La lettre ne doit pas être une redite du CV. Elle doit raconter une histoire et montrer pourquoi le poste vous intéresse et ce que vous comptez apporter à votre employeur. 

    Ce qu’il faut faire :
    ✔ Une intro accrocheuse : évitez le classique “Je vous adresse ma candidature pour le poste de…”.
    ✔ Montrez que vous avez compris les besoins de l’entreprise et expliquez pourquoi vous êtes la bonne personne pour le poste.
    ✔ Parlez de ce que vous pouvez apporter et pas seulement de ce que vous voulez apprendre.
    ✔ Ne vous concentrez pas uniquement sur les compétences. Les entreprises veulent aussi des profils qui matchent avec leurs valeurs et qui peuvent bien s’intégrer dans leur équipe. 

    4. Une bonne candidature sans faute d’orthographe

    Une faute dans un CV, c’est comme une tache sur une chemise blanche : ça saute aux yeux. Cela montre surtout que vous n’avez pas pris la peine de vous relire, ce qui peut être un gros red flag pour les recruteurs. 

    Ce qu’il faut faire pour une bonne candidature :
    ✔ Relisez-vous plusieurs fois
    et faites relire par quelqu’un d’autre.
    ✔ Utilisez des outils comme Scribens ou BonPatron pour corriger les fautes.

    5. Un envoi soigné et pro

    Après avoir pris le soin de soigner votre CV et lettre de motivation pour compiler une bonne candidature, il serait dommage de rater son envoi. 

    Ce qu’il faut faire :
    ✔ Un objet d’email clair : “Candidature – [Nom du poste] – [Votre prénom NOM]”.
    ✔ Un mail court et efficace : pas besoin de recopier la lettre de motivation dedans.
    ✔ Un nom de fichier pro : “CV_Prénom_Nom.pdf” et pas “CV_version_finale_def2_OK.pdf” .

    Bref, pas besoin d’avoir 10 ans d’expérience pour faire une bonne candidature qui marque les esprits. Avec ces conseils, vous mettez toutes les chances de votre côté pour décrocher votre premier job !

    4 conseils pratiques pour réussir sa candidature

    Postuler, ce n’est pas juste envoyer un CV et attendre une réponse en croisant les doigts. Pour maximiser vos chances de décrocher un entretien, puis un poste, il faut être stratégique et visible ! Voici 5 conseils concrets pour mettre toutes les chances de votre côté avec une bonne candidature.

    1. Mettez votre CV en ligne et optimisez votre présence digitale

    Aujourd’hui, un recruteur peut vous chercher sur Google ou LinkedIn avant même de lire votre CV. Assurez-vous qu’il tombe sur du contenu qui joue en votre faveur ! Vous pouvez par exemple créer ou mettre à jour votre profil LinkedIn. Pensez également à publier votre CV sur les plateformes adaptées (Indeed, Apec, etc.) et à faire un peu de ménage sur vos réseaux sociaux. 

    Astuce : Pensez à activer la fonctionnalité “Open to work” sur LinkedIn pour signaler aux recruteurs que vous êtes disponible.

    2. Ne vous limitez pas aux offres en ligne : postulez aussi en candidature spontanée !

    80 % des emplois ne sont jamais publiés en ligne, ils se trouvent via le réseau et les candidatures spontanées. Prenez les devants en faisant une liste des entreprises pour lesquelles vous aimeriez travailler et envoyez une candidature spontanée, bien ciblée. Vous pouvez aussi aller directement sur le terrain pour déposer votre CV en personne (en particulier dans des secteurs comme le commerce, la restauration ou encore l’évènementiel). 

    3. Activez votre réseau (même si vous pensez ne pas en avoir !)

    Le recrutement se fait aussi beaucoup au bouche à oreille. Et même si vous débutez dans la vie active, votre réseau est bien plus vaste que vous ne le pensez ! Parlez de votre recherche autour de vous : famille, amis, anciens profs, collègues de stage… On ne sait jamais qui connaît qui ! Vous pouvez aussi participer à des évènements professionnels ou rejoindre des groupes spécialisés dans votre domaine sur LinkedIn.

    Astuce : Grâce au programme de mentorat Woork, vous pouvez facilement rencontrer des professionnels dans votre domaine ! Votre mentor vous ouvrira non seulement les portes de son propre réseau, mais il vous aidera aussi à consolider le vôtre. 

    Je rejoins le mouvement Woork et je deviens mentoré !

    4. Relancez intelligemment après une candidature

    Un recruteur reçoit des dizaines (voire des centaines) de candidatures par poste. Se rappeler à lui peut faire la différence ! Attendez environ une semaine après l’envoi de votre candidature avant de relancer et faites-le de manière efficace, en rappelant votre motivation et en demandant poliment s’ils ont eu l’occasion de consulter votre dossier.Si vous avez passé un entretien, envoyez un message de remerciement dans les 24h pour montrer votre intérêt et votre professionnalisme.

    En bref : une bonne candidature, c’est un CV clair, une lettre motivante et une approche stratégique ! Pour maximiser vos chances, soyez visible en ligne, activez votre réseau et osez les candidatures spontanées. Et surtout, ne laissez pas votre recherche d’emploi au hasard !

    Besoin d’un coup de pouce pour valoriser votre profil, décrocher un job et préparer vos premiers jours de travail ? Avec Woork, notre programme de mentorat, des pros sont là pour vous guider et vous donner toutes les clés pour faire une bonne candidature et réussir votre entrée dans le monde du travail. 

    Je trouve mon mentor !

  • Tout savoir sur la prime d’activité : montant, conditions

    Tout savoir sur la prime d’activité : montant, conditions

    Tout le monde en parle, mais qui sait vraiment ce que c’est ? La prime d’activité, c’est un peu le sujet mystère : on entend souvent son nom, mais on sait rarement à qui elle s’adresse précisément ni comment y accéder. 

    Dans cet article, on répond à toutes les questions que vous pouvez avoir sur cette aide financière à commencer par la plus importante : est-ce que vous pouvez en bénéficier ?

    La prime d’activité c’est quoi ?

    La prime d’activité est une aide financière destinée à compléter les revenus des travailleurs modestes, qu’ils soient salariés ou indépendants. Mise en place le 1ᵉʳ janvier 2016, suite à la loi relative au dialogue social et à l’emploi, elle remplace le RSA activité et la prime pour l’emploi. 

    Notre guide complet sur la prime d'activité

    Source : Sécurité sociale

    Encart : La prime d’Activité en chiffres

    • En 2023, près de 4,54 millions de foyers en France bénéficiaient de la prime d’activité, ce qui représente une augmentation de 1,3 % par rapport à l’année précédente. 
    • En moyenne, le montant  de la prime d’activité par foyer  était estimé à 187 euros, soit une hausse de 3,7 % sur un an. 

    Quel est le montant de la prime d’activité ?

    Vous vous demandez jusqu’à combien peut s’élever le montant de votre prime d’activité ? Tout dépend de votre situation. Ce montant est calculé automatiquement en fonction de plusieurs critères, dont : 

    • Vos ressources (et l’ensemble des ressources des membres de votre foyer, y compris les aides que vous pouvez recevoir de la CAF) ; 
    • La composition de votre foyer. 

    Mais pour vous faire une petite idée, voici les montants minimum et maximum de la prime d’activité. 

    • La prime peut commencer à environ 15-20 € par mois.
    • Selon votre situation (notamment lorsque l’on a des enfants à charge), elle peut atteindre jusqu’à 600 à 900 € par mois, voire davantage dans certains cas spécifiques.

    Pour estimer le montant de votre prime d’activité, c’est très simple. Vous pouvez utiliser le simulateur en ligne de la CAF ! Et pour vous accompagner dans toutes les autres péripéties de la vie active, vous pouvez aussi faire appel à un mentor !

    Comment est calculée la prime d’activité ?

    Comme expliqué un peu plus haut, la prime d’activité est calculée en fonction de l’ensemble des ressources des membres de votre foyer, et plus précisément : 

    • Les revenus de votre activité professionnelle (le montant net social) ; 
    • Les revenus de remplacement (comme les indemnités chômage, maladie, etc.)
    • Les prestations et les aides sociales,
    • Vos autres revenus (revenus de capitaux, du patrimoine, etc.).

    Chaque trimestre, vous allez devoir déclarer ces revenus sur le site de la CAF afin qu’elle puisse calculer vos droits à la prime d’activité. 

    La base forfaitaire en vigueur est de 622,63 euros au moment où nous écrivons cet article.  (en janvier 2025) Cette base peut être majorée selon votre situation familiale : +50 % pour une personne seule avec un enfant, +30 % par enfant supplémentaire, etc.

    À noter : Le montant final de la prime d’activité dépend aussi des aides que vous percevez déjà, comme les APL. Pour connaître votre montant exact, le simulateur de la CAF est votre meilleur allié !

    Est-ce que j’ai droit à la prime d’activité ?

    Pour savoir si vous êtes éligible à la prime d’activité, vous devez respecter plusieurs conditions d’éligibilité : 

    1. Travailler et percevoir des revenus intermédiaires. La première condition pour toucher la prime d’activité est d’exercer une activité professionnelle (salariée, indépendante, intérimaire, apprenti, alternant, etc.). Les revenus que vous touchez pour cette activité doivent de plus ne pas dépasser un certain plafond : 1 885 € nets par mois pour les personnes seules et 3 900 euros nets par mois pour les couples avec deux enfants. Attention, ces plafonds peuvent être amenés à changer ! N’hésitez pas à vérifier sur le site de la CAF
    2. Avoir au moins 18 ans. Gardez bien en tête que la prime d’activité n’est pas réservée aux salariés. Les jeunes actifs, étudiants salariés et apprentis peuvent aussi y prétendre sous certaines conditions (gagner au moins 1 070,78 € brut/mois, soit 78 % du SMIC).
    3. Résider en France. Vous devez avoir une résidence stable en France et y résider au moins 9 mois par an.

    Vous ne serez donc pas éligible à la prime d’activité si : 

    • Vos revenus dépassent les plafonds mentionnés plus haut ; 
    • Vous n’avez pas d’activité professionnelle. Les personnes sans emploi ou dont les revenus proviennent uniquement d’allocations (comme le RSA ou le chômage) ne sont pas éligibles.
    • Vous êtes un étudiant ou un apprentis avec de faibles revenus (inférieurs à 1 070,78 € brut/mois) ;
    • Vous résidez moins de 9 mois en France par an. 

    Astuce : Pour être sûr(e) de votre éligibilité, faites une simulation directement sur le site de la CAF ou de la MSA (si vous dépendez du régime agricole) : c’est rapide et gratuit !

    Pendant combien de temps est-ce que je peux bénéficier de la prime d’activité ?

    La prime d’activité vous sera versée tant que votre situation et le montant de vos revenus respecteront l’ensemble des conditions que l’on vient de lister. Pour vous assurer que vous êtes toujours en droit de toucher cette aide, pensez à : 

    • Déclarer vos ressources et celles de l’ensemble des membres de votre foyer tous les trois mois et en montant net social (MNS). 
    • Signaler tout changement (aussi bien professionnel que familial) dans votre espace personnel sur le site de la CAF (rubrique « Déclarez un changement »). 

    Si à la suite de ces déclarations vous n’êtes plus éligible ou que le montant de votre prime d’activité a été réévalué, ces changements prendront effet le premier jour du mois suivant. 

    Est-ce que je peux cumuler la prime d’activité avec d’autres aides comme le RSA ?

    La bonne nouvelle, c’est que la prime d’activité peut être cumulée avec certaines aides… mais pas toutes. Voici un récapitulatif clair des prestations sociales compatibles avec la prime d’activité : 

    • L’APL (Aide personnalisée au logement). Elle est néanmoins prise en compte dans le calcul de votre prime et peut légèrement en réduire le montant ; 
    • Les allocations familiales :
    • Les pensions alimentaires reçues sont compatibles, mais elles sont considérées comme un revenu et peuvent influencer le montant final.
    • Les indemnités de chômage partiel ou arrêt maladie. 

    Par contre, certaines aides ne peuvent pas être cumulées avec la prime d’activité. C’est le cas notamment de : 

    • Le RSA (Revenu de Solidarité Active), qui a été fusionné avec la prime d’activité en 2016. Vous ne pouvez donc pas percevoir les deux en même temps et devrez choisir entre les deux (selon vos revenus et votre situation) ; 
    • Les indemnités chômage (hors partiel). Si vous êtes au chômage complet (et donc sans activité professionnelle), vous n’êtes pas éligible à la prime d’activité.

    Si vous êtes arrivé jusqu’au bout de cet article, félicitations ! La prime d’activité n’a désormais plus de secret pour vous. Si vous pouvez en bénéficier, on vous explique les démarches à suivre dans un autre article. Et pour avancer sereinement dans votre vie professionnelle, en particulier si elle ne fait que commencer, n’hésitez pas à faire appel à une personne qui est déjà passée par les mêmes étapes que vous. Nos mentors vous partagent leur expérience pour vous aider naviguer plus facilement dans cette nouvelle aventure !

    Je trouve mon mentor !

  • Tout savoir sur la période d’essai

    Tout savoir sur la période d’essai

    Après avoir enchainé les candidatures puis les entretiens, vous êtes enfin arrivé à vos fins ! Votre nouveau contrat commence bientôt… par une période d’essai. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire, l’immense majorité des employeurs la pratiquent afin d’évaluer vos compétences. Mais c’est aussi l’occasion pour vous de déterminer si vous vous sentez bien à votre poste et dans votre nouvelle entreprise !

    Dans cet article, on vous explique tout ce qu’il y a à savoir sur la période d’essai. Quel est son cadre légal, sa durée maximale et comment est-ce qu’elle peut être rompue (par l’employé ou l’employeur) ? Mais avant de la commencer, on vous partage surtout quelques astuces pour que la vôtre soit réussie !

    Période d’essai : à quoi ça sert ?

    La période d’essai marque le début d’un nouveau contrat au sein d’une entreprise. D’une durée maximale de 4 mois (renouvelables), elle permet à votre employeur d’évaluer vos compétences pour le poste. Et pour vous, c’est un bon moyen de vérifier que les missions pour lesquelles vous avez été recrutées vous conviennent. 

    Selon l’article  L1221-20 du Code du travail, la période d’essai n’est pas obligatoire. C’est une possibilité offerte à l’employeur et qu’il saisit très souvent (en particulier avant une embauche définitive). Elle sera alors prévue dans votre contrat de travail (ou dans la lettre d’engagement). Dans le cas contraire, on ne peut plus vous l’imposer après, une fois que vous avez pris votre poste. 

    A l’issue de votre période d’essai, et si les deux parties sont satisfaites, vous serez définitivement embauché au sein de l’entreprise. 

    Important : attention à ne pas confondre la période d’essai avec : 

    • La période probatoire, qui est mise en place lorsque vous changez de poste au sein d’une même entreprise ;
    • L’essai professionnel, un test réalisé avant l’embauche (généralement pendant l’entretien) et qui ne dure que quelques heures. 

    Combien de temps peut durer une période d’essai ?

    La durée de votre période d’essai va dépendre de la nature de votre contrat. 

    • Vous avez été recruté(e) en CDI : la durée maximale sera de 2 mois pour les ouvriers et les employés, 3 mois pour les agents de maîtrise et les techniciens ou 4 mois pour les cadres.  L’entreprise peut néanmoins fixer une durée plus courte (dans votre contrat de travail ou sa convention collective, par exemple). 
    • Vous avez été recruté(e) en CDD : la période d’essai ne pourra pas excéder 1 jour par semaine prévue dans le contrat (dans une limite de 2 semaines lorsque la durée du CDD est égale ou inférieure à 6 mois). Si c’est un CDD de plus 6 mois, la période d’essai durera au maximum 1 mois. 

    Les cas particuliers

    • Pour l’intérim : la durée de la période d’essai varie en fonction de la durée de la mission (2 jours maximum pour un contrat de moins d’un mois et jusqu’à 5 jours pour les contrats de plus de 2 mois). 
    • Pour un stage : aucune période d’essai n’est prévue ; 
    • Pour un contrat d’apprentissage : on parle alors de période probatoire. Elle s’étend sur les 45 premiers jours de travail
    • Pour une alternance ou un contrat de professionnalisation : la durée de la période d’essai sera identique à celle pour un CDI ou un CDD ; 
    • Pour un temps partiel : les dispositions seront les mêmes que pour un emploi à temps complet. 

    Le renouvellement de la période d’essai 

    La période d’essai peut être renouvelée uniquement si vous avez été embauché en CDI (c’est interdit dans le cadre d’un CDD) et à condition de respecter certaines conditions : 

    Nos conseils pour réussir sa période d'essai
    • Le renouvellement n’a lieu qu’une seule fois ;
    • Il doit être prévu dans un accord de branche étendue (qui fixera également ses conditions et la durée du renouvellement) et figurer dans votre contrat de travail ou lettre d’engagement ; 
    • La durée de ce prolongement ne peut pas dépasser les 4 mois pour les ouvriers et les employés, 6 mois pour les agents de maîtrise et les techniciens et 8 mois pour les cadres.

    3 conseils pour réussir sa période d’essai

    Tout l’enjeu de la période d’essai, si vous vous sentez bien dans ce nouveau travail, c’est qu’elle soit validée et que vous soyez définitivement embauché. Pour mettre toutes les chances de votre côté, il est conseillé de  : 

    1. Se faire confiance : si vous avez été recruté, ce n’est pas par hasard. Même si commencer un nouveau contrat par une période d’essai peut être stressant, il est important de vous souvenir que le recruteur a jugé que vous aviez le bon profil et les compétences nécessaires pour le poste !
    2. S’impliquer pleinement dans votre nouvelle entreprise. Votre période d’essai commencera certainement par une phase d’observation pour mieux comprendre votre nouvel environnement. Mais n’hésitez pas à passer rapidement à l’action. Posez des questions à vos collègues, proposez vos idées et prenez des initiatives (tout en respectant le cadre de vos missions, bien sûr) ; 
    3. Se faire accompagner par un mentor. Lorsque l’on débute dans la vie active, une période d’essai peut être encore plus intimidante. Raison de plus pour bénéficier de l’accompagnement d’un mentor, plus expérimenté. Ce dernier vous aidera non seulement à développer vos compétences, mais aussi à prendre confiance en vous pour vous épanouir plus sereinement au sein de votre nouvelle entreprise ! Avoir un regard extérieur peut aussi être d’une grande aide pour déterminer, au fil de votre période d’essai, si vous vous sentez bien à votre poste ou si vous ne pourriez pas vous épanouir dans un autre environnement professionnel. 

    Comment mettre fin à une période d’essai ?

    Même si c’est une éventualité à laquelle on a pas forcément envie de penser, la période d’essai peut se terminer sans une embauche définitive. La rupture se fera soit : 

    • A l’initiative de l’employeur, qui peut décider de mettre fin à la période d’essai quand il le souhaite (de préférence en en notifiant le salarié par écrit pour prouver la résiliation de son contrat). Il n’est pas tenu de donner d’explications, mais sa décision ne doit pas être fondée sur un motif discriminatoire. Le délai de prévalence (c’est à dire le préavis) ira de 24 heures à 2 semaines selon la durée de la présence du salarié. 
    • A l’initiative du candidat, qui peut lui aussi quitter son poste avant la fin de sa période d’essai. Le délai de prévalence sera alors de 48 heures (ou 24 heures si cela fait moins de 8 jours qu’il a rejoint l’entreprise). En cas de non-respect de ce préavis, son employeur peut lui réclamer une indemnité compensatrice. La aussi, la décision peut être notifiée à l’oral ou à l’écrit (même si une trace écrite est recommandée). 

    La période d’essai n’est pas forcément une épée de Damoclès au-dessus de votre tête. Saisissez cette opportunité pour montrer ce dont vous êtes capable, mais aussi pour vous assurer que le poste que vous avez accepté répond bien à vos attentes. Pour donner le meilleur de vous-même et avancer plus sereinement dans ce nouveau poste, trouvez votre mentor grâce au programme Woork !

  • Comment bien préparer son premier jour de travail ?

    Comment bien préparer son premier jour de travail ?

    Le premier jour de travail, c’est un mélange d’excitation et d’appréhension, surtout quand on débute dans le monde professionnel. Nouveaux collègues, nouvelles responsabilités, nouvelles habitudes à prendre… Pas toujours évident de trouver ses marques dès le départ ! 

    Mais comme on dit : une nouvelle recrue avertie en vaut deux. Pour transformer cette première journée en succès (et faire bonne impression), nous avons rassemblé des conseils pratiques à destination des jeunes talents et des employeurs. Car une bonne intégration ne repose pas uniquement sur les épaules du nouvel arrivant : l’entreprise a aussi un rôle clé à jouer pour assurer un accueil réussi !

    Pourquoi le premier jour de travail dans une nouvelle entreprise est si important ?

    Le premier jour de travail dans une nouvelle entreprise est un moment clé, à la fois pour le jeune qui débute sa carrière et pour l’employeur qui cherche à fidéliser ses collaborateurs.

    Du point de vue du nouveau  salarié : un mélange d’excitation et d’appréhension

    Commencer un nouvel emploi, surtout en début de carrière, c’est une étape marquante. Ce premier jour de travail va poser les bases de l’expérience que vous allez avoir dans votre nouvelle entreprise. Elle va aussi influencer votre confiance en vous ainsi que votre motivation. 

    Un premier jour de travail, c’est à la fois : 

    • Une première impression décisive : L’accueil, l’ambiance et l’organisation du premier jour de travail vous donnent une bonne idée de la culture de l’entreprise que vous venez de rejoindre. 
    • La compréhension des attentes de votre employeur : C’est l’occasion de clarifier votre rôle, les missions que l’on va vous confier ainsi que les objectifs que vous devez atteindre. 
    • La création de liens avec vos collègues : Se sentir bien entouré dès le départ est essentiel. 

    Du point de vue de l’employeur : un enjeu stratégique pour la rétention des talents

    Les entreprises savent que l’intégration des nouveaux collaborateurs est un levier clé pour limiter leur turnover. En effet, une bonne expérience d’onboarding augmente les chances de rétention de 82 % et booste l’engagement des nouvelles recrues.

    Pour l’organisation qui accueille un jeune, ce premier jour est donc une opportunité de : 

    • Renforcer son engagement : Un bon accueil montre au collaborateur qu’il est attendu et valorisé, ce qui favorise son implication dès le début.
    • Accélérer sa montée en compétence : Plus un employé comprend vite son environnement de travail et ses missions, plus il devient opérationnel rapidement.
    • Valoriser sa culture d’entreprise : La première impression influence aussi la perception que le jeune se fait des valeurs de l’organisation et de ses futures conditions de travail.  

    Qu’est-ce qui peut mal tourner lors d’une première journée de travail ?

    Si l’on stresse autant avant de commencer sa première journée de travail, c’est que l’on a souvent tendance à imaginer le pire. C’est un fait : parfois, tout ne se passe pas comme prévu. Pour mieux les anticiper, voici les erreurs les plus courantes que peuvent commettre aussi bien les employés que les employeurs. 

    1. Un accueil inexistant ou bâclé

    « Je suis arrivé à 9h comme prévu… et personne n’avait l’air d’être au courant de mon arrivée. J’ai attendu 30 minutes à la réception avant qu’on me dise où aller.. » — Maxime. 

    Statistique : 28 % des nouveaux employés quittent leur poste dans les trois premiers mois à cause d’un mauvais onboarding.

    2. Arriver en retard (ou trop juste)

    « J’avais mal anticipé le temps de trajet et, bien sûr, ce jour-là, il y a eu un problème de transport. Je suis arrivé 15 minutes en retard, essoufflé, en m’excusant » — Lucas. 

    Statistique : 53 % des employeurs attendent de leurs employés qu’ils soient ponctuels tous les jours,et 41 % ont déjà renvoyé un collaborateur pour des retards.

    3. Ne pas être proactif et rester passif pour son premier jour de travail

    « Mon manager m’a demandé si j’avais des questions et, par peur de déranger, j’ai répondu non… sauf que j’étais complètement perdue ! J’ai passé la journée à attendre qu’on vienne me donner des infos, au lieu de poser des questions. » — Sarah

    Statistique : Un salarié proactif est perçu comme plus performant et voit sa carrière évoluer plus rapidement. 

    4. Se comporter de manière trop familière ou trop distante

    « Pour essayer de briser la glace, j’ai fait une blague sur le patron… sans savoir qu’il était juste derrière moi. » — Jules

    « J’étais tellement stressée que je suis restée ultra discrète. Résultat : mes collègues pensaient que je n’étais pas intéressée ou sociable. » — Marion

    Statistique : Entretenir de bonnes relations avec ses collègues est essentiel pour travailler de manière efficace et rester productif. Cela contribue notamment à instaurer une ambiance de travail positive et à réduire le stress. 

    5. Aucune présentation à l’équipe

    « Je suis arrivée dans un open space où tout le monde était plongé dans son travail. Personne ne m’a présenté à mes collègues et je me suis sentie invisible. J’ai dû me débrouiller pour aller vers les autres… mais ce n’était pas simple. » — Léa

    Statistique : Un employé qui se sent intégré dès le départ a 58 % plus de chances de rester dans l’entreprise après trois ans. 

    6. Un premier jour surchargé et stressant

    « J’ai été jetée dans le bain immédiatement : réunion avec le client dès mon premier jour, sans briefing préalable. J’avais à peine eu le temps de me connecter à mon email ! » — Camille,

    Statistique : Une sur-sollicitation dès le premier jour peut générer un stress excessif et diminuer l’engagement sur le long terme. 23 % des employés admettent avoir pleuré dans la semaine suivant leur arrivée dans leur nouvelle entreprise.

    6 conseils pour réussir sa première journée de travail

    Maintenant que l’on a évacué les scénarios catastrophes, nous allons pouvoir nous concentrer sur comment les éviter. Pour que votre premier jour soit réussi, vous devez avant tout bien vous y préparer. Mais aussi pouvoir compter sur une entreprise qui sait vous accueillir comme il se doit !

    Pour les jeunes : mettre toutes les chances de son côté

    1. Bien se préparer en amont

    Renseignez-vous sur l’entreprise que vous allez rejoindre : ses valeurs et sa culture. Relisez votre fiche de poste et les échanges avec votre futur manager. Vérifiez aussi l’itinéraire pour éviter le stress des transports le matin !

    Astuce : Préparez vos vêtements la veille et dormez suffisamment pour être en forme.

    2. Arriver avec une attitude positive et ouverte

    Montrez de l’enthousiasme ! Votre posture et votre énergie jouent un rôle clé dans l’impression que vous allez faire lors de votre premier jour de travail. Soyez curieux, posez des questions et intéressez-vous aux collègues que vous rencontrez.

    Astuce : Un simple « Enchanté(e), ravi(e) de rejoindre l’équipe ! » peut briser la glace. 

    3. Observer et s’adapter à la culture d’entreprise

    Chaque entreprise a ses codes (que ce soit au niveau de la tenue vestimentaire ou de la communication). Prenez le temps d’observer vos collègues et adaptez-vous progressivement.

    Astuce : Écoutez plus que vous ne parlez (surtout au début). Être observateur vous aidera à comprendre les dynamiques internes.

    4. Poser des questions et prendre des notes

    Le premier jour est souvent chargé en informations. Notez les données les plus importantes (comme les outils utilisés, le nom de vos interlocuteurs, etc.) pour ne rien oublier et montrer votre sérieux.

    Comment réussir son premier jour de travail ?

    Astuce : Si vous avez des doutes, demandez ! Mieux vaut poser une question maintenant que de faire une erreur plus tard.

    Pour les entreprises : un onboarding réussi pour une bonne rétention

    5️. Préparer l’arrivée du nouveau collaborateur

    Rien de pire qu’un premier jour de travail pour lequel rien n’est prêt. Assurez-vous que le poste de travail, les accès aux outils et le planning d’intégration soient bien en place avant l’arrivée de votre nouvelle recrue. 

    Idée : Un kit de bienvenue (carnet de notes, goodies, message personnalisé) peut faire toute la différence et créer un sentiment d’appartenance dès le premier jour de travail. 

    6️. Créer un parcours d’intégration humain et progressif

    Ne surchargez pas le nouvel arrivant d’informations dès le premier jour. Prévoyez un moment pour le présenter à l’équipe et un point avec le manager pour clarifier ses premières missions.

    Idée : Désigner un parrain/work buddy parmi les collaborateurs pour accompagner la nouvelle recrue peut faciliter son intégration et améliorer son expérience.

    Pour conclure, un premier jour de travail bien préparé (des deux côtés), c’est moins de stress, une meilleure intégration et finalement une collaboration qui marchera sur le long terme ! Que vous vous apprêtiez à faire vos premiers pas dans une nouvelle entreprise ou que vous souhaitiez renforcer votre parcours d’onboarding, rejoignez Woork dès que vous avez trouvé votre travail !  On vous trouve le mentor qu’il vous faut en 48h et vous pourrez travailler cette arrivée en entreprise avec lui/elle 

    “Quand ma mentore m’a avoué qu’elle rêvait systématiquement d’arriver en claquettes pour sa première journée de travail et qu’elle a changé 10 fois de poste en 20 ans , ça m’a détendue. Face à l’inconnu, on est tous dans le même bâteau.”  Lydia, mentorée

    Découvrez le programme de mentorat Woork et devenez mentoré ou  engagez votre entreprise (on s’occupe de tout !)