Catégorie : Le mentorat en entreprise

  • « Faire ses premiers pas dans un monde du travail en flux tendu, sans perdre son cap. »

    « Faire ses premiers pas dans un monde du travail en flux tendu, sans perdre son cap. »

    Entrer sur le marché du travail aujourd’hui ? Bienvenue dans un environnement en mouvement permanent, où tout doit aller vite. Bref, le monde du travail ne fait pas exception, il est à l’image du monde d’aujourd’hui : connecté, exigeant, friand d’évolutions véloces. 

    Les entreprises tendent à organiser les arrivées pour gagner en efficacité : onboarding, welcome week, entretiens réguliers… Autant de moments qui donnent parfois le sentiment d’une urgence permanente. Urgence d’être efficace dès le premier jour, d’apprendre les codes, de s’intégrer, de prouver sa valeur.

    Et si ces rituels d’intégration n’existent pas alors le salarié est face à une urgence encore plus grande, à lui de créer ces moments et de solliciter les bonnes personnes !

    Si cette pression du début peut être stimulante, elle peut aussi brouiller la vision et les objectifs que l’on s’est fixés. La prise d’un nouveau poste est une course contre la montre qui ne doit pas faire oublier nos envies personnelles dans le monde professionnel.

    Des ambitions au pluriel

    Tout jeune salarié qui démarre un nouveau travail a ses propres aspirations : stabilité financière, apprentissage d’un métier, évolution dans l’entreprise, ou encore la préservation de son équilibre vie pro – vie perso.

    Ces ambitions évoluent, certaines prennent le pas sur d’autres. Elles se construisent avec la connaissance que l’on a de l’entreprise et l’épanouissement qu’on y trouve. Elles se redessinent avec nos expériences et nos rencontres.

    “Avec le mentorat je suis plus pragmatique, j’avance étape par étape dans ma nouvelle expérience. J’ai eu une prise de conscience sur beaucoup de choses, sur le fait de ne pas me mettre trop la pression.” Paul, en CDI dans la logistique et mentoré Woork.

    Répondre à l’urgence provoquée par une prise de poste ? Oui sur le court terme.

    Accorder l’atteinte de ses ambitions personnelles avec les perspectives professionnelles de son entreprise ? Indispensable sur le long terme !

    Quoi de mieux qu’un mentor pour garder le cap dans ce nouvel environnement ? Découvrez qui sont les mentors Woork et donnez-nous vos besoins, on s’occupe du reste !

    Quand les managers n’ont pas le temps

    Les jeunes sont nombreux à le vivre : happés par leurs propres urgences, leurs responsables ne sont pas autant présents qu’ils aimeraient pour les accompagner pendant leurs premiers mois. Et les impacts peuvent être énormes quand on sait qu’1 jeune sur 5 déclare penser à quitter son entreprise dès le premier jour.

    Le temps réservé au management décroît : la transmission de la culture professionnelle se complique pour les jeunes arrivant, au détriment des entreprises et des managers, qui sont les premiers impactés par ce manque de temps.
    Réussir sa prise de poste, s’intégrer dans une équipe, comprendre les attentes de l’entreprise, le tout sans sacrifier sa vie personnelle… beaucoup de défis qui ne doivent pas freiner votre épanouissement !

    C’est là qu’une solution complémentaire prend tout son sens : le mentorat externe à l’entreprise.

    Découvrez le témoignage complet de Mariam Sire Diallo, mentoré Woork pendant les 6 premiers mois de sa vie pro !

    Woork : un mentorat pour accélérer votre réussite

    Rejoindre Woork, c’est bénéficier d’un accompagnement supplémentaire et structurant. Avec un mentor, chaque jeune salarié bénéficie d’un espace de partage, sans la pression hiérarchique ou la peur du jugement.
    Grâce à ce lien privilégié, chaque mentoré est accompagné pour : 

    • Identifier ses priorités, plutôt que de courir dans toutes les directions ;

    • Dessiner le chemin que l’on veut prendre et apprendre à l’adapter en fonction des réalités ;

    • Concilier l’urgence de la performance immédiate et les ambitions qui s’inscrivent sur le long terme.

    Les sujets sont dictés par les besoins du jeune salarié, le mentorat évolue avec lui !

    “Directement on s’est senties à l’aise, je pose les questions que j’ai envie, même des questions un peu loufoques. On échange sur tout ce que je veux.” Leidivanna, en CDD dans la vente et mentoré Woork.

    Externe à l’entreprise du jeune salarié, un mentor Woork accompagne les jeunes salariés à utiliser l’urgence du début comme moteur. Catalysée et maîtrisée, cette énergie peut permettre d’oser plus vite, d’apprendre plus intensément et de progresser plus durablement… pour que le jeune salarié s’épanouisse et que son manager gagne en sérénité ! 

    La seule urgence à prioriser au plus vite ? Choisir son mentor Woork pour bénéficier d’un accompagnement gratuit et individualisé pendant 6 mois. N’attendez pas pour booster votre vie pro !

     

    Contact : juliette@twoo-mentorat.fr

  • [Témoignage] Devenir mentor : un engagement personnel et professionnel qui fait la différence

    [Témoignage] Devenir mentor : un engagement personnel et professionnel qui fait la différence

    Dans un monde du travail en constante évolution, accompagner les jeunes dans leur prise de poste est un enjeu clé pour les entreprises. L’intégration des nouvelles générations d’actifs ne se limite pas à leur donner des outils techniques : il s’agit aussi de les aider à naviguer dans un environnement souvent complexe, où les codes ne sont pas toujours évidents. C’est dans cet esprit que Nicolas Dupont, cadre expérimenté, a choisi de devenir mentor au sein du programme Woork.

    À travers son témoignage, il partage son expérience et nous éclaire sur les bénéfices du mentorat, autant pour les jeunes professionnels que pour les mentors eux-mêmes.

    Un engagement citoyen pour transmettre et accompagner

    Pour Nicolas, le mentorat dépasse la simple relation d’accompagnement : c’est un véritable acte citoyen. Dans un monde où l’on peut facilement se sentir impuissant face aux grandes transformations économiques et sociales, devenir mentor et s’engager aux côtés des jeunes est un moyen concret d’agir.

    « Devenir mentor est une expérience qui me tenait à cœur depuis longtemps. Je souhaitais m’engager dans une mission à caractère social. À force de constats négatifs sur des sujets de grande ampleur, on a tendance à se sentir impuissant. Avec Woork, j’ai senti qu’on se donnait les moyens d’agir sur un enjeu sociétal majeur. »

    En partageant son expérience et en offrant un cadre d’écoute bienveillant, il contribue à la construction du monde professionnel de demain.

    Les avantages de devenir mentor en entreprise

    « L’implication des jeunes dans le monde de l’entreprise est l’un des piliers de la construction du monde de demain. Ils sont le moteur de la société ; les accompagner relève d’une action citoyenne. »

    Son engagement repose aussi sur une conviction personnelle : celle de redonner ce qu’il a reçu.

    « Quand je fais le bilan de ma vie professionnelle, je mesure la chance que j’ai eue. J’ai presque fait le tour du monde pour des missions à l’étranger. Ces opportunités, je les dois à mes études, à mon entourage, qui m’ont permis de m’épanouir personnellement et professionnellement. Il était important pour moi de redonner. »

    Devenir mentor, c’est trouver la bonne posture 

    Devenir mentor et accompagner un jeune professionnel ne signifie pas lui donner toutes les réponses. C’est plutôt l’aider à poser les bonnes questions, à prendre du recul sur ses expériences et à construire sa propre voie.

    « À la différence du coaching où l’on met beaucoup de côté ses émotions, en tant que mentor, on les utilise, on s’appuie dessus. On partage son histoire, on y met de soi et cela implique sa propre sensibilité. En cela, c’est une relation très authentique. »

    Mais devenir mentor ne s’improvise pas. Il faut trouver le juste équilibre entre transmission et écoute, sans tomber dans le piège du paternalisme.

    « Mon plus grand défi a été de ne pas tomber dans le côté grand-sachant paternaliste. Lors du premier entretien, je me suis surpris à avoir envie de parler à cette personne comme si j’étais son père. C’est vraiment quelque chose à surveiller pour le bénéfice de la relation. »

    C’est là que le cadre structurant de Woork prend tout son sens.

    « J’ai choisi ce programme pour cette raison. Le fait d’évoluer dans une relation cadrée avec Woork est clé. On peut faire appel à un mentor référent ou à l’équipe si on a le moindre doute sur la posture à adopter. Nous sommes là pour construire et cheminer ensemble dans une relation d’égal à égal. »

    En entreprise, cette approche est essentielle. Trop souvent, les jeunes professionnels n’osent pas exprimer leurs doutes ou leurs frustrations. Le mentorat leur offre cet espace d’échange indispensable.

    « Quand on parle de formation des jeunes, on englobe peu cette dimension. Ils n’ont pas souvent l’opportunité de partager ce qu’ils ressentent, que ce soit de la colère, de la frustration, du doute. C’est pourtant essentiel et ils n’ont pas la possibilité de s’en ouvrir sur leur lieu de travail. »

    Le mentorat : un éclairage précieux sur les nouvelles générations

    Le mentorat est aussi une opportunité pour les mentors eux-mêmes. Devenir mentor permet de mieux comprendre les attentes et les préoccupations des jeunes générations.

    « Être mentor m’apporte un éclairage sur la réalité du monde d’aujourd’hui. C’est un angle unique, de regarder ce qui se passe pour une personne qu’on accompagne. À travers les différents mentorés que j’aurai la chance de suivre, je vais essayer d’élargir ma carte du monde et de comprendre ce qui peut se passer dans la vie professionnelle des jeunes d’aujourd’hui. »

    Dans un contexte où les attentes professionnelles évoluent rapidement (recherche de sens, équilibre vie pro/perso, besoin d’autonomie…), cet échange intergénérationnel est une vraie richesse pour les entreprises.

    Un levier de développement personnel et professionnel

    Au-delà de l’accompagnement, devenir mentor est une expérience de développement personnel. Le mentorat permet d’améliorer ses compétences relationnelles, son écoute et sa capacité à guider sans imposer.

    « Le mentorat me permet de m’améliorer en management, en leadership, en communication interpersonnelle. Cela m’aide aussi à mieux comprendre les enjeux des uns et des autres. »

    Un bon mentor ne donne pas des solutions toutes faites, il aide son mentoré à les trouver par lui-même.

    « Mon objectif est de créer avec les mentorés les conditions de leur propre autonomie. Ils vont prendre possession des outils qui s’offrent à eux, commencer à prendre des décisions, avancer. Voir la personne se mettre en action, prendre conscience de son potentiel, les situations se débloquer, c’est très gratifiant. »

    Ce travail d’accompagnement s’appuie aussi sur une dimension émotionnelle forte.

    « Ils traversent les situations avec leurs propres émotions ; parfois avec joie mais aussi parfois avec beaucoup de colère, de tristesse. On peut essayer de remettre les choses en perspective. En tant que mentor, on a cette expérience de salarié et du recul sur le déroulement d’une carrière, sur les relations. On leur offre un espace, un moment dans lequel ils vont prendre du recul. »

    Dans un environnement professionnel où le stress et la pression sont omniprésents, ce rôle de facilitateur du recul est essentiel.

    « Son manager qui n’a pas répondu à un mail ne signifie pas qu’il est mis de côté ou ignoré. Nous parlons ensemble de la prise de recul nécessaire pour ne pas prendre de plein fouet des non-événements. »

    Devenir mentor : un engagement gagnant-gagnant

    Le mentorat, tel que le vit Nicolas Dupont, est bien plus qu’un simple transfert de savoirs. C’est une relation d’échange, où mentor et mentoré grandissent ensemble.

    Les entreprises ont tout à gagner à encourager ces dynamiques : elles permettent une meilleure intégration des jeunes, un engagement renforcé et un dialogue intergénérationnel plus fluide.

    Comme le souligne Nicolas :

    « La relation mentorale consiste à trouver l’équilibre entre le rapport empathique, bienveillant, authentique et professionnel. Construire cette posture est l’un des défis majeurs du programme. »

    En intégrant le mentorat dans vos pratiques, votre entreprise ne se contente pas de soutenir ses jeunes recrues : elle valorise également l’expertise de ses collaborateurs expérimentés et créent une culture d’apprentissage mutuel.

    Alors, et si vous aussi vous vous lanciez dans l’aventure du mentorat ?

  • [Témoignage] Comment le mentorat aide à se lancer dans la vie active

    [Témoignage] Comment le mentorat aide à se lancer dans la vie active

    Se lancer dans la vie active, c’est bien souvent faire un saut dans l’inconnu. Excitant, certes, mais aussi rempli d’incertitudes. Les premiers mois sont souvent faits de découvertes, de remises en question et parfois de moments de solitude face à des situations inédites. 

    Pour Wen, jeune chargé de communication, le mentorat a été une véritable bouée de sauvetage. Grâce au programme de mentorat Woork, il a pu naviguer plus sereinement dans cette nouvelle réalité professionnelle, poser toutes ses questions sans craindre de se faire juger et, surtout, prendre confiance en lui.

    « Grâce au mentorat, je me suis jeté dans le vide… mais avec un parachute. J’ai trouvé un espace de discussion sans jugement où je peux déposer mes ressentis, repartir plus confiant et chargé d’une bonne énergie. Un vrai safe space qui n’existe nulle part ailleurs. »

    À travers son témoignage, nous allons explorer les défis que rencontrent les jeunes actifs et voir comment le mentorat peut les aider à se lancer dans la vie active et à s’épanouir dans leur premier emploi.

    Décoder le monde de l’entreprise pour mieux se lancer dans la vie active

    L’une des premières difficultés lorsqu’on s’apprête à se lancer dans la vie active, c’est de comprendre les codes de l’entreprise. Les relations professionnelles, les attentes implicites de la hiérarchie, les jeux d’influence au sein d’une équipe… Tout cela ne s’apprend pas à l’école. 

    Nos conseils pour se lancer dans la vie active

    Pour Wen, cette adaptation était d’autant plus complexe qu’il est arrivé en France il y a seulement six ans :

    « Pour n’importe quel jeune, c’est déjà difficile d’apprendre les codes d’une entreprise. Quand on est étranger, c’est deux fois plus compliqué. Il faut intégrer les codes de la société, ceux de l’entreprise. Tout est nouveau et différent. C’est à la fois excitant et un peu déstabilisant. Le mentorat m’a aidé à mieux vivre ma prise de poste, à poser toutes les questions que je n’osais pas poser sur mon lieu de travail. »

    Ce besoin de décodage est partagé par de nombreux jeunes actifs. Selon une récente étude, 40 % des jeunes professionnels se sentent mal préparés aux réalités du monde du travail. C’est ici que le mentorat joue un rôle clé : en offrant un espace où l’on peut poser toutes ses questions sans crainte de jugement, il permet une meilleure compréhension de l’environnement professionnel et une intégration plus fluide dans sa nouvelle entreprise. 

    Prendre du recul sur les situations vécues

    Quand on va se lancer dans la vie active, chaque difficulté peut sembler insurmontable. Un conflit avec un collègue, une incompréhension avec son manager, une critique mal vécue… Ce sont autant de moments où le soutien d’un mentor peut faire toute la différence.

    « Le mentorat te permet d’avoir un regard extérieur sur des situations que tu vis en entreprise. Pour moi, la plus grande difficulté, c’est tout ce qui tourne autour de l’évolution professionnelle, de la posture à tenir, ce qu’on peut dire ou ne pas dire. Quand on fait des études, tout est très théorique. On sait faire un plan de communication, mais pas forcément défendre ses idées face à des collègues sceptiques. »

    Dans de nombreux cursus, mais aussi au sein de nombreuses entreprises, le manque de formation aux soft skills peut être un frein à l’évolution des jeunes recrues. Et pourtant : une enquête de l’OCDE montre que la majorité des employeurs considèrent que les compétences relationnelles et la capacité d’adaptation sont aussi importantes que les compétences techniques. Grâce au mentorat, Wen a pu apprendre à mieux gérer les critiques, à adapter sa communication et à trouver des solutions adaptées aux défis du quotidien.

    Gagner en confiance et surmonter le syndrome de l’imposteur

    L’un des plus grands défis des jeunes actifs qui viennent de se lancer dans la vie active est souvent le manque de confiance en soi. Selon une étude de KPMG, 75 % des femmes et 50 % des hommes ressentent le syndrome de l’imposteur au début de leur carrière.

    « Je me disais souvent “Je ne m’en sors pas, je ne suis pas fait pour ça.” Ma mentore me remettait les idées en place sur ma valeur, mes capacités, le chemin parcouru. En réunion, je n’osais pas prendre la parole. Je prenais très à cœur le moindre commentaire. Grâce à elle, j’ai réussi à proposer des idées, à m’ouvrir aux remarques. »

    Le mentorat permet d’avoir un miroir bienveillant qui aide à relativiser les difficultés et à progresser. Comme l’a constaté Wen, un mentor peut jouer un rôle clé dans le développement de l’estime de soi et la prise d’initiative.

    Se lancer dans la vie active : apprendre à affirmer ses besoins et à poser ses limites

    Dans le monde du travail, savoir s’affirmer est essentiel. Pourtant, beaucoup de jeunes professionnels ont du mal à exprimer leurs attentes et à dire non lorsqu’une situation ne leur convient pas.

    « Le mentorat m’a permis de prendre conscience que mes managers ne pouvaient pas anticiper tous mes besoins. C’était à moi de les faire connaître. Apprendre à dire non, poser des limites… Il y a une façon de le faire. C’est difficile et souvent on le fait maladroitement. Ma mentore m’a poussé à trouver des manières posées d’exprimer mes ressentis. »

    Un bon mentor encourage son mentoré à prendre du recul et à adopter une posture plus affirmée. Dans le cas de Wen, ce travail lui a permis de mieux communiquer avec son manager et de créer une relation plus fluide et équilibrée.

    Conclusion : le mentorat, un tremplin vers l’autonomie

    L’expérience de Wen illustre bien les défis auxquels sont confrontés les jeunes actifs et l’impact positif qu’un programme de mentorat peut avoir pour ceux et celles qui vont se lancer dans la vie active. En offrant un espace de dialogue, d’écoute et de soutien, le mentorat permet aux jeunes professionnels de mieux comprendre leur environnement, de gagner en confiance et de prendre en main leur carrière plus sereinement.

    Comme le dit Wen :

    « Sans ma mentore, je n’aurais jamais osé proposer un déjeuner à mon manager, m’ouvrir sur certaines difficultés ou suggérer des solutions qui allaient dans mon sens. Ça a très bien fonctionné. »

    Se lancer dans la vie active avec un mentor à ses côtés 

    Pour les entreprises , intégrer un programme de mentorat comme Woork ne remplace pas le rôle du manager, mais vient, en complément, renforcer l’accompagnement des jeunes recrues. Une initiative gagnante pour tous : les mentorés évoluent plus rapidement, les collaborateurs plus expérimentés prennent du recul sur leurs pratiques et l’organisation fidélise mieux ses nouvelles recrues

    Et vous, comment accompagnez-vous vos jeunes recrues dans leurs premiers pas professionnels ? 

    Optimisez votre programme de mentorat avec Woork !

  • Démarches pour bénéficier de la prime d’activité : les 7 étapes à suivre

    Démarches pour bénéficier de la prime d’activité : les 7 étapes à suivre

    Obtenir la prime d’activité, ça peut parfois ressembler à un vrai casse-tête : des démarches à rallonge, des formulaires sans fin… Mais pas de panique, on est là pour vous simplifier la vie ! Dans cet article, on vous guide pas à pas pour tout comprendre et faire les démarches pour bénéficier de la prime d’activité en un rien de temps. Suivez le guide ! 

    Étape 1 : Préparez vos documents pour réaliser les démarches pour bénéficier de la prime d’activité

    Avant de commencer, rassemblez les informations nécessaires pour demander la prime d’activité. Vous aurez besoin de : 

    • Vos identifiants CAF ou MSA (selon votre régime).
    • Vos bulletins de salaire ou preuves de revenus des 3 derniers mois (y compris si vous touchez une pension ou des allocations, etc.).
    • Les revenus de l’ensemble de votre foyer (si vous êtes en couple ou vivez avec d’autres personnes).
    • Un justificatif de logement (sur lequel est indiqué le montant du loyer ou de l’hébergement).

    Étape 2 : Connectez-vous au bon site

    Pour demander la prime d’activité, rendez-vous sur le site de la CAF (caf.fr) ou de la MSA (pour les travailleurs agricoles). Puis cliquez sur « Demander la prime d’activité » dans votre espace personnel.

    Source : Aide-sociale

    Pas encore inscrit(e) ? Créez votre compte avec votre numéro d’allocataire ou vos informations personnelles.

    Étape 3 : Faites une simulation (optionnel mais recommandé)

    Utilisez le simulateur sur le site de la CAF ou de la MSA pour vérifier rapidement si vous êtes éligible et avoir une estimation du montant auquel vous avez droit.

    Étape 4 : Remplissez votre demande pour obtenir la prime d’activité

    Une fois connecté(e) à votre espace personnel sur le site de la CAF ou de la MSA, suivez ces étapes pour remplir votre demande sans rien oublier :

    1. Suivez les instructions affichées dans votre espace personnel

    • Après avoir cliqué sur « Demander la prime d’activité », un formulaire détaillé s’ouvre.
    • Lisez attentivement les explications à chaque étape. Des encarts d’aide sont souvent proposés pour vous guider. N’hésitez pas également à lire la FAQ ou à utiliser l’aide en ligne de la CAF/MSA pour faciliter votre demande de prime d’activité. 
    Démarches pour bénéficier de la prime d'activité

    Source : CAF

    2. Renseignez vos revenus des 3 derniers mois

    Les revenus pris en compte pour le calcul de la prime d’activité sont :

    • Les salaires ou revenus professionnels : Indiquez les montants nets imposables figurant sur vos bulletins de paie. Si vous êtes indépendant(e), renseignez votre chiffre d’affaires trimestriel ou vos bénéfices.
    • Vos autres revenus : Par exemple une pension alimentaire, des indemnités journalières (en cas d’arrêt maladie ou de congé maternité), vos rentes, etc. 
    • Les prestations sociales perçues : Mentionnez le montant de votre APL ou toute autre aide déjà reçue.

    Source : Aide-sociale

    Notre conseil : Faites attention à ne pas confondre montant brut et net imposable (c’est ce dernier qui est demandé).

    3. Ajoutez les informations relatives à votre logement

    Dans cette section, vous devrez :

    • Indiquer le montant de votre loyer mensuel (sans inclure les charges).
    • Préciser si vous recevez des aides au logement, comme l’APL (le montant exact vous sera demandé).
    • Mentionner si vous partagez votre logement (colocation) et dans ce cas, le nombre de colocataires.

    Notre conseil : Si vous êtes en colocation, ne déclarez que votre part du loyer, pas le loyer total.

    4. Vérifiez toutes les données avant de valider

    Avant de cliquer sur « Valider », prenez le temps de bien vérifier : 

    • Les montants renseignés (revenus, aides, loyer).
    • Les informations sur votre situation familiale (nombre d’enfants, statut en couple ou célibataire).
    • Votre RIB : assurez-vous que vos coordonnées bancaires soient correctes pour éviter des retards de paiement (ce serait dommage !).

    Notre conseil :  Vérifiez vos chiffres une seconde fois : une erreur sur les montants ou une case mal cochée peut entraîner un rejet ou un recalcul défavorable de votre prime.

    5. Validez et recevez votre confirmation

    Une fois validée, votre demande est envoyée pour traitement. Vous recevrez un accusé de réception dans votre espace personnel. Ce document confirme que votre dossier est en cours d’étude.

    Étape 5 : Suivez l’avancement de votre dossier

    Une fois votre demande de prime d’activité déposée, vous recevrez une confirmation dans votre espace CAF/MSA. Le traitement prend généralement 2 à 4 semaines. Lorsque votre demande sera validée (ce qu’on espère pour vous !), vous en serez informé par email ou courrier. 

    Étape 6 : Recevez votre prime d’activité

    Une fois acceptée, la prime d’activité sera versée directement sur votre compte bancaire tous les mois, généralement autour du 5 du mois suivant.

    Et après ?

    Etape 7 : Actualisez vos revenus pour continuer de recevoir la prime d’activité

    Vous pensiez que c’était fini ? Mauvaise nouvelle : les démarches pour bénéficier de la prime d’activité ne s’arrêtent pas au dépôt de votre dossier. Vous allez devoir actualiser votre situation tous les 3 mois. Et oui, garder votre dossier à jour est indispensable pour rester en règle et éviter les interruptions de versement de la prime d’activité. 

    Pourquoi actualiser vos revenus ? Non seulement pour vérifier que vous êtes toujours éligible, mais aussi pour ajuster le montant de la prime en fonction des variations de vos revenus ou de votre situation familiale. 

    Par exemple, si vos revenus augmentent ou baissent (suite à un nouvel emploi ou à une baisse d’activité pour les indépendants), le montant de la prime d’activité peut être réévalué à la hausse ou à la baisse.

    Pensez donc à signaler sans attendre

    • Un changement professionnel : Nouvel emploi, perte d’emploi, augmentation ou baisse significative de vos revenus.
    • Un changement familial : Mariage, séparation, naissance ou départ d’un enfant.
    • Mais aussi un changement de logement : déménagement, colocation, modification du loyer ou de l’APL.

    Comment actualiser vos revenus ?

    Voici la marche à suivre pour effectuer votre déclaration trimestrielle ou signaler un changement :

    a) Déclaration trimestrielle des revenus

    1. Connectez-vous à votre espace personnel sur le site de la CAF (caf.fr) ou de la MSA.
    2. Cliquez sur l’onglet « Mes démarches en ligne » ou « Déclarer mes ressources trimestrielles ».
    3. Indiquez :
      • Vos revenus professionnels des 3 derniers mois (salaire, revenus d’activité indépendante).
      • Les autres ressources perçues (pensions alimentaires, indemnités journalières, prestations sociales, etc.).
    4. Validez votre déclaration une fois tous les champs remplis.

    b) Signaler un changement de situation

    1. Allez dans l’onglet « Modifier mon profil » ou « Signaler un changement ».
    2. Sélectionnez la nature du changement (situation professionnelle, familiale ou logement).
    3. Complétez les informations demandées et joignez, si nécessaire, des justificatifs (par exemple, un contrat de travail ou un justificatif de mariage).

    Important : Tout retard dans la déclaration ou le signalement d’un changement peut entraîner une suspension de la prime d’activité ou une demande de remboursement en cas de trop-perçu.

    Quelques conseils pratiques pour éviter les soucis

    Vous voulez éviter les soucis avec la CAF ? On vous invite à : 

    • Programmer des rappels dans votre agenda ou votre téléphone pour ne pas oublier vos déclarations trimestrielles.
    • Consultez régulièrement votre espace personnel sur le site de la CAF ou de la MSA pour vérifier vos informations.
    • Conservez tous vos justificatifs pendant au moins un an en cas de contrôle ou de besoin de rectification.

    Et voilà, vous avez toutes les cartes en main pour bénéficier de la prime d’activité ! Il ne vous reste plus qu’à commencer les démarches pour bénéficier de la prime d’activité et vous pourrez rapidement profiter de ce coup de pouce financier. 

    Et pour vous accompagner tout au long de votre entrée dans la vie active, n’hésitez pas à faire appel à une personne qui est déjà passée par les mêmes étapes que vous. Nos mentors vous partagent leur expérience et vous offrent une autre perspective de la vie professionnelle, pour naviguer plus facilement dans cette nouvelle aventure !

    Je trouve mon mentor !

  • C’est quoi le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) et comment en bénéficier ?

    C’est quoi le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) et comment en bénéficier ?

    Entrer dans le monde du travail quand on est jeune, c’est à la fois un défi et une source d’excitation. C’est un moment où l’appréhension se mêle à l’enthousiasme : l’angoisse de ne pas trouver le poste idéal, de se confronter à la réalité du marché, mais aussi l’envie de se lancer dans une aventure nouvelle, de découvrir des horizons professionnels, de bâtir son indépendance financière, etc.

    Pour accompagner vos premiers pas en tant que jeune actif, des dispositifs tels que le Contrat d’Engagement Jeune ont été mis en place. Dans cet article, nous vous expliquons ce qu’est le CEJ, qui peut en bénéficier, comment y accéder. En bonus, on vous explique aussi comment le compléter avec un programme de mentorat pour maximiser vos chances d’insertion professionnelle.

    Qu’est-ce que le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) ?

    Le Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) est un dispositif destiné aux jeunes de 16 à 29 ans en situation de précarité, afin de les accompagner vers un emploi durable. Mis en place par l’État en 2022, ce dispositif vise donc à aider les jeunes sans emploi ni formation à retrouver un parcours professionnel adapté à leurs besoins.

    Ce qui fait la particularité du CEJ, c’est :

    • Son suivi personnalisé : Le jeune bénéficie d’un accompagnement renforcé avec des rendez-vous réguliers (environ une fois par mois) avec un conseiller. Ces échanges lui permettent de définir des objectifs de recherche d’emploi et de formation.
    • L’engagement de l’État : L’État s’engage à offrir au jeune des solutions concrètes, telles que des formations, des ateliers, des offres d’emploi ou de stage pour l’aider à s’épanouir dans le monde du travail. 
    • Son accompagnement renforcé avec des acteurs locaux : Ce dispositif se construit également en collaboration avec les collectivités territoriales, et des acteurs comme les missions locales, Pôle emploi ou d’autres structures locales.

    Les jeunes bénéficiaires du CEJ peuvent également toucher une aide financière mensuelle, dont le montant est calculé en fonction de leur situation personnelle (leur niveau de ressources et projet professionnel). Cette dernière peut aller jusqu’à 552,29 € par mois. 

    Pour en savoir plus et estimer les aides auxquelles vous avez droit, n’hésitez pas à vous rendre directement sur le site du Ministère du Travail

    Qui peut bénéficier du CEJ ?

    Le Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) s’adresse aux jeunes de 16 à 29 ans qui sont en situation de précarité et rencontrent des difficultés d’insertion professionnelle. 

    Pour être plus précis, les bénéficiaires du CEJ sont les jeunes :

    • Sans emploi : C’est-à-dire qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en étude.
    • En situation de vulnérabilité : Cela inclut des jeunes qui, par exemple, n’ont pas terminé leur scolarité, ou qui sont dans une situation de décrochage scolaire ou professionnel.
    • Sans solution : Les jeunes qui n’ont pas trouvé d’opportunités pour entrer dans un parcours de formation, un emploi stable ou un contrat d’apprentissage.

    Pour résumer, le CEJ est destiné aux jeunes en difficulté d’insertion professionnelle et qui nécessitent un accompagnement personnalisé pour trouver une solution adaptée à leurs aspirations et capacités professionnelles. Le CEJ donne donc un nouvel élan à vos ambitions, en vous permettant d’aller vers l’autonomie financière et la stabilité qui vous permettront de développer tous vos projets. 

    Comment bénéficier du Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) ?

    Vous êtes éligible au CEJ ? Voici les démarches à suivre pour en bénéficier : 

    1. Inscription auprès d’un organisme compétent : La première étape consiste à vous inscrire auprès de Pôle emploi (aujourd’hui France Travail) ou de la Mission Locale (ou toute autres structures locales d’insertion professionnelle). .
    2. Entretien avec un conseiller : Après l’inscription, vous allez rencontrer un conseiller qui évaluera votre situation ainsi que vos besoins. Ce premier entretien permet de définir les objectifs d’accompagnement et de mettre en place un suivi personnalisé, avec des rendez-vous réguliers (en fonction de vos disponibilités). 
    3. Élaboration du plan d’action personnalisé : Avec votre conseiller, vous allez définir un parcours personnalisé qui peut inclure des formations, des sessions de recherche d’emploi, des stages, des ateliers, ou des mises en situation professionnelle.
    4. Engagement et suivi : Une fois le CEJ signé, vous vous engagez à suivre le programme mis en place avec votre conseiller. Le suivi se fait sur une base mensuelle et des bilans sont réalisés pour ajuster votre parcours, si nécessaire.

    Et si vous êtes une entreprise qui souhaite accueillir un ou plusieurs jeunes dans le cadre du CEJ, il faut : 

    1. S’inscrire auprès des acteurs compétents : Rapprochez-vous de France Travail ou de votre Mission Locale pour savoir comment intégrer des jeunes dans ce programme.
    2. Proposer des opportunités : Vous pourrez ensuite proposer des offres de stage, de formation en alternance ou d’emploi à des jeunes inscrits dans le dispositif.
    3. Collaborer avec le jeune et le conseiller : Ensemble, vous allez définir un parcours de formation ou signer un contrat d’apprentissage, de manière à ce que le jeune puisse acquérir des compétences concrètes et adaptées aux besoins de votre entreprise.
    4. Suivi et accompagnement : Une fois le CEJ signé, votre entreprise doit accompagner activement le jeune dans son parcours, en lui offrant des missions qui lui permettront de développer ses compétences et en échangeant régulièrement avec le conseiller pour faire un point sur son évolution. 
    5. Contacter l’équipe Woork pour découvrir comment compléter le dispositif du CEJ en proposant du mentorat à vos jeunes recrues.

    CEJ et mentorat : comment les deux dispositifs se complètent ?

    Le Contrat d’Engagement Jeune (CEJ) et le mentorat sont deux dispositifs complémentaires qui peuvent travailler ensemble pour offrir une expérience d’accompagnement enrichissante pour les jeunes. 

    Le mentorat pour compléter un CEJ (Contrat d'Engagement Jeune)

    Tandis que le CEJ se concentre principalement sur l’insertion immédiate dans le monde du travail, le mentorat ajoute une dimension humaine et stratégique. Le mentor partage au jeune son vécu et lui offre un accompagnement et des perspectives supplémentaires pour l’aider à construire sa carrière sur le long terme. 

    “Honnêtement, je ne pensais pas en retirer autant de bienfaits. Nora m’a vraiment aidé à trouver les moyens de m’affirmer, de croire en moi et de ne pas me résigner face aux difficultés.” Clara, mentorée. 

    Le programme Woork est un excellent exemple de ce que peut apporter un mentorat structuré pour les jeunes, en complément du CEJ : 

    • Un suivi de qualité : Woork vous permet de matcher avec des mentors expérimentés dans différents domaines professionnels. Ces derniers partagent leurs connaissances, leurs réseaux et leurs expériences avec les jeunes actifs pour les aider à mieux comprendre les attentes du monde du travail.
    • Un accompagnement à long terme : En plus du suivi régulier offert par le CEJ, vous allez bénéficier de conseils sur la gestion de votre carrière, la prise de décision, le développement de compétences ou encore l’élargissement de votre réseau professionnel.
    • Une approche flexible : Le programme de mentorat Woork est personnalisé selon vos besoins, en tenant compte de vos aspirations professionnelles et des défis qui vous sont propres.

    Le mentorat permet donc de compléter les objectifs immédiats du CEJ en offrant une perspective plus longue et des conseils pratiques qui ne sont pas toujours inclus dans le suivi formel du CEJ.

    Je trouve mon futur mentor !

  • C’est quoi une bonne candidature : nos conseils pour réussir son CV quand on est un jeune actif

    C’est quoi une bonne candidature : nos conseils pour réussir son CV quand on est un jeune actif

    Postuler à son premier job, c’est un peu comme swiper sur une appli de rencontre : il faut attirer l’attention en quelques secondes… sans en faire trop ! Pas facile de se vendre quand on débute et qu’on a l’impression de ne pas avoir grand-chose à raconter. Mais bonne nouvelle : même sans expérience pro, vous avez déjà plein d’atouts à mettre en avant.

    Pas de panique, ici pas de poudre aux yeux ni de CV gonflé à l’extrême ! On vous donne des conseils concrets pour une bonne candidature qui tape dans l’œil des recruteurs, en restant 100 % authentique. 

    C’est quoi une bonne candidature ?

    Une bonne candidature, c’est celle qui donne envie au recruteur de vous rencontrer. Simple en théorie, mais en pratique… ça veut dire quoi ? Voici les critères essentiels à respecter pour que votre CV et votre lettre de motivation sortent du lot et vous décrochent un entretien, voire votre premier job !

    Comment rédiger un bon CV ou une bonne lettre de motivation

    1. Un CV clair, lisible et bien structuré

    Un recruteur passe en moyenne 30 à 45 secondes sur un CV. Autant dire qu’il faut aller à l’essentiel !

    Ce qu’il faut faire :

    Un design simple et aéré : pour une bonne candidature, évitez les couleurs trop flashy et les polices originales, mais illisibles.
    Des rubriques bien distinctes : Infos perso – Formation – Expériences – Compétences – Centres d’intérêt.
    Une seule page : sauf cas exceptionnel, un CV doit tenir en une feuille A4 max.

    Et si on n’a pas d’expérience pro ?
    Mettez en avant vos stages, projets scolaires, bénévolat, jobs d’été, associations. Tout compte !

    2. Une bonne candidature adaptée au job visé

    Un CV générique, c’est comme un message copié-collé : ça ne fonctionne pas ! Les recruteurs veulent avoir la sensation que vous avez bien lu la fiche de poste et que votre candidature est ciblée. 

    Ce qu’il faut faire :
    ✔ Personnalisez votre CV et votre lettre en fonction de l’offre : mettez en avant les expériences ou compétences en lien avec le poste.
    ✔ Adaptez l’intitulé de votre CV au job visé (comme par exemple : « Assistant Marketing Junior »).
    ✔ Utilisez les bons mots-clés : reprenez ceux de l’annonce pour que votre CV soit bien repéré (surtout si la boîte utilise un logiciel de tri automatique).

    3. Une lettre de motivation qui donne envie de vous rencontrer

    La lettre ne doit pas être une redite du CV. Elle doit raconter une histoire et montrer pourquoi le poste vous intéresse et ce que vous comptez apporter à votre employeur. 

    Ce qu’il faut faire :
    ✔ Une intro accrocheuse : évitez le classique “Je vous adresse ma candidature pour le poste de…”.
    ✔ Montrez que vous avez compris les besoins de l’entreprise et expliquez pourquoi vous êtes la bonne personne pour le poste.
    ✔ Parlez de ce que vous pouvez apporter et pas seulement de ce que vous voulez apprendre.
    ✔ Ne vous concentrez pas uniquement sur les compétences. Les entreprises veulent aussi des profils qui matchent avec leurs valeurs et qui peuvent bien s’intégrer dans leur équipe. 

    4. Une bonne candidature sans faute d’orthographe

    Une faute dans un CV, c’est comme une tache sur une chemise blanche : ça saute aux yeux. Cela montre surtout que vous n’avez pas pris la peine de vous relire, ce qui peut être un gros red flag pour les recruteurs. 

    Ce qu’il faut faire pour une bonne candidature :
    ✔ Relisez-vous plusieurs fois
    et faites relire par quelqu’un d’autre.
    ✔ Utilisez des outils comme Scribens ou BonPatron pour corriger les fautes.

    5. Un envoi soigné et pro

    Après avoir pris le soin de soigner votre CV et lettre de motivation pour compiler une bonne candidature, il serait dommage de rater son envoi. 

    Ce qu’il faut faire :
    ✔ Un objet d’email clair : “Candidature – [Nom du poste] – [Votre prénom NOM]”.
    ✔ Un mail court et efficace : pas besoin de recopier la lettre de motivation dedans.
    ✔ Un nom de fichier pro : “CV_Prénom_Nom.pdf” et pas “CV_version_finale_def2_OK.pdf” .

    Bref, pas besoin d’avoir 10 ans d’expérience pour faire une bonne candidature qui marque les esprits. Avec ces conseils, vous mettez toutes les chances de votre côté pour décrocher votre premier job !

    4 conseils pratiques pour réussir sa candidature

    Postuler, ce n’est pas juste envoyer un CV et attendre une réponse en croisant les doigts. Pour maximiser vos chances de décrocher un entretien, puis un poste, il faut être stratégique et visible ! Voici 5 conseils concrets pour mettre toutes les chances de votre côté avec une bonne candidature.

    1. Mettez votre CV en ligne et optimisez votre présence digitale

    Aujourd’hui, un recruteur peut vous chercher sur Google ou LinkedIn avant même de lire votre CV. Assurez-vous qu’il tombe sur du contenu qui joue en votre faveur ! Vous pouvez par exemple créer ou mettre à jour votre profil LinkedIn. Pensez également à publier votre CV sur les plateformes adaptées (Indeed, Apec, etc.) et à faire un peu de ménage sur vos réseaux sociaux. 

    Astuce : Pensez à activer la fonctionnalité “Open to work” sur LinkedIn pour signaler aux recruteurs que vous êtes disponible.

    2. Ne vous limitez pas aux offres en ligne : postulez aussi en candidature spontanée !

    80 % des emplois ne sont jamais publiés en ligne, ils se trouvent via le réseau et les candidatures spontanées. Prenez les devants en faisant une liste des entreprises pour lesquelles vous aimeriez travailler et envoyez une candidature spontanée, bien ciblée. Vous pouvez aussi aller directement sur le terrain pour déposer votre CV en personne (en particulier dans des secteurs comme le commerce, la restauration ou encore l’évènementiel). 

    3. Activez votre réseau (même si vous pensez ne pas en avoir !)

    Le recrutement se fait aussi beaucoup au bouche à oreille. Et même si vous débutez dans la vie active, votre réseau est bien plus vaste que vous ne le pensez ! Parlez de votre recherche autour de vous : famille, amis, anciens profs, collègues de stage… On ne sait jamais qui connaît qui ! Vous pouvez aussi participer à des évènements professionnels ou rejoindre des groupes spécialisés dans votre domaine sur LinkedIn.

    Astuce : Grâce au programme de mentorat Woork, vous pouvez facilement rencontrer des professionnels dans votre domaine ! Votre mentor vous ouvrira non seulement les portes de son propre réseau, mais il vous aidera aussi à consolider le vôtre. 

    Je rejoins le mouvement Woork et je deviens mentoré !

    4. Relancez intelligemment après une candidature

    Un recruteur reçoit des dizaines (voire des centaines) de candidatures par poste. Se rappeler à lui peut faire la différence ! Attendez environ une semaine après l’envoi de votre candidature avant de relancer et faites-le de manière efficace, en rappelant votre motivation et en demandant poliment s’ils ont eu l’occasion de consulter votre dossier.Si vous avez passé un entretien, envoyez un message de remerciement dans les 24h pour montrer votre intérêt et votre professionnalisme.

    En bref : une bonne candidature, c’est un CV clair, une lettre motivante et une approche stratégique ! Pour maximiser vos chances, soyez visible en ligne, activez votre réseau et osez les candidatures spontanées. Et surtout, ne laissez pas votre recherche d’emploi au hasard !

    Besoin d’un coup de pouce pour valoriser votre profil, décrocher un job et préparer vos premiers jours de travail ? Avec Woork, notre programme de mentorat, des pros sont là pour vous guider et vous donner toutes les clés pour faire une bonne candidature et réussir votre entrée dans le monde du travail. 

    Je trouve mon mentor !

  • Tout savoir sur la période d’essai

    Tout savoir sur la période d’essai

    Après avoir enchainé les candidatures puis les entretiens, vous êtes enfin arrivé à vos fins ! Votre nouveau contrat commence bientôt… par une période d’essai. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire, l’immense majorité des employeurs la pratiquent afin d’évaluer vos compétences. Mais c’est aussi l’occasion pour vous de déterminer si vous vous sentez bien à votre poste et dans votre nouvelle entreprise !

    Dans cet article, on vous explique tout ce qu’il y a à savoir sur la période d’essai. Quel est son cadre légal, sa durée maximale et comment est-ce qu’elle peut être rompue (par l’employé ou l’employeur) ? Mais avant de la commencer, on vous partage surtout quelques astuces pour que la vôtre soit réussie !

    Période d’essai : à quoi ça sert ?

    La période d’essai marque le début d’un nouveau contrat au sein d’une entreprise. D’une durée maximale de 4 mois (renouvelables), elle permet à votre employeur d’évaluer vos compétences pour le poste. Et pour vous, c’est un bon moyen de vérifier que les missions pour lesquelles vous avez été recrutées vous conviennent. 

    Selon l’article  L1221-20 du Code du travail, la période d’essai n’est pas obligatoire. C’est une possibilité offerte à l’employeur et qu’il saisit très souvent (en particulier avant une embauche définitive). Elle sera alors prévue dans votre contrat de travail (ou dans la lettre d’engagement). Dans le cas contraire, on ne peut plus vous l’imposer après, une fois que vous avez pris votre poste. 

    A l’issue de votre période d’essai, et si les deux parties sont satisfaites, vous serez définitivement embauché au sein de l’entreprise. 

    Important : attention à ne pas confondre la période d’essai avec : 

    • La période probatoire, qui est mise en place lorsque vous changez de poste au sein d’une même entreprise ;
    • L’essai professionnel, un test réalisé avant l’embauche (généralement pendant l’entretien) et qui ne dure que quelques heures. 

    Combien de temps peut durer une période d’essai ?

    La durée de votre période d’essai va dépendre de la nature de votre contrat. 

    • Vous avez été recruté(e) en CDI : la durée maximale sera de 2 mois pour les ouvriers et les employés, 3 mois pour les agents de maîtrise et les techniciens ou 4 mois pour les cadres.  L’entreprise peut néanmoins fixer une durée plus courte (dans votre contrat de travail ou sa convention collective, par exemple). 
    • Vous avez été recruté(e) en CDD : la période d’essai ne pourra pas excéder 1 jour par semaine prévue dans le contrat (dans une limite de 2 semaines lorsque la durée du CDD est égale ou inférieure à 6 mois). Si c’est un CDD de plus 6 mois, la période d’essai durera au maximum 1 mois. 

    Les cas particuliers

    • Pour l’intérim : la durée de la période d’essai varie en fonction de la durée de la mission (2 jours maximum pour un contrat de moins d’un mois et jusqu’à 5 jours pour les contrats de plus de 2 mois). 
    • Pour un stage : aucune période d’essai n’est prévue ; 
    • Pour un contrat d’apprentissage : on parle alors de période probatoire. Elle s’étend sur les 45 premiers jours de travail
    • Pour une alternance ou un contrat de professionnalisation : la durée de la période d’essai sera identique à celle pour un CDI ou un CDD ; 
    • Pour un temps partiel : les dispositions seront les mêmes que pour un emploi à temps complet. 

    Le renouvellement de la période d’essai 

    La période d’essai peut être renouvelée uniquement si vous avez été embauché en CDI (c’est interdit dans le cadre d’un CDD) et à condition de respecter certaines conditions : 

    Nos conseils pour réussir sa période d'essai
    • Le renouvellement n’a lieu qu’une seule fois ;
    • Il doit être prévu dans un accord de branche étendue (qui fixera également ses conditions et la durée du renouvellement) et figurer dans votre contrat de travail ou lettre d’engagement ; 
    • La durée de ce prolongement ne peut pas dépasser les 4 mois pour les ouvriers et les employés, 6 mois pour les agents de maîtrise et les techniciens et 8 mois pour les cadres.

    3 conseils pour réussir sa période d’essai

    Tout l’enjeu de la période d’essai, si vous vous sentez bien dans ce nouveau travail, c’est qu’elle soit validée et que vous soyez définitivement embauché. Pour mettre toutes les chances de votre côté, il est conseillé de  : 

    1. Se faire confiance : si vous avez été recruté, ce n’est pas par hasard. Même si commencer un nouveau contrat par une période d’essai peut être stressant, il est important de vous souvenir que le recruteur a jugé que vous aviez le bon profil et les compétences nécessaires pour le poste !
    2. S’impliquer pleinement dans votre nouvelle entreprise. Votre période d’essai commencera certainement par une phase d’observation pour mieux comprendre votre nouvel environnement. Mais n’hésitez pas à passer rapidement à l’action. Posez des questions à vos collègues, proposez vos idées et prenez des initiatives (tout en respectant le cadre de vos missions, bien sûr) ; 
    3. Se faire accompagner par un mentor. Lorsque l’on débute dans la vie active, une période d’essai peut être encore plus intimidante. Raison de plus pour bénéficier de l’accompagnement d’un mentor, plus expérimenté. Ce dernier vous aidera non seulement à développer vos compétences, mais aussi à prendre confiance en vous pour vous épanouir plus sereinement au sein de votre nouvelle entreprise ! Avoir un regard extérieur peut aussi être d’une grande aide pour déterminer, au fil de votre période d’essai, si vous vous sentez bien à votre poste ou si vous ne pourriez pas vous épanouir dans un autre environnement professionnel. 

    Comment mettre fin à une période d’essai ?

    Même si c’est une éventualité à laquelle on a pas forcément envie de penser, la période d’essai peut se terminer sans une embauche définitive. La rupture se fera soit : 

    • A l’initiative de l’employeur, qui peut décider de mettre fin à la période d’essai quand il le souhaite (de préférence en en notifiant le salarié par écrit pour prouver la résiliation de son contrat). Il n’est pas tenu de donner d’explications, mais sa décision ne doit pas être fondée sur un motif discriminatoire. Le délai de prévalence (c’est à dire le préavis) ira de 24 heures à 2 semaines selon la durée de la présence du salarié. 
    • A l’initiative du candidat, qui peut lui aussi quitter son poste avant la fin de sa période d’essai. Le délai de prévalence sera alors de 48 heures (ou 24 heures si cela fait moins de 8 jours qu’il a rejoint l’entreprise). En cas de non-respect de ce préavis, son employeur peut lui réclamer une indemnité compensatrice. La aussi, la décision peut être notifiée à l’oral ou à l’écrit (même si une trace écrite est recommandée). 

    La période d’essai n’est pas forcément une épée de Damoclès au-dessus de votre tête. Saisissez cette opportunité pour montrer ce dont vous êtes capable, mais aussi pour vous assurer que le poste que vous avez accepté répond bien à vos attentes. Pour donner le meilleur de vous-même et avancer plus sereinement dans ce nouveau poste, trouvez votre mentor grâce au programme Woork !

  • Comment fidéliser ses jeunes recrues : 5 conseils RH qui changent la donne !

    Comment fidéliser ses jeunes recrues : 5 conseils RH qui changent la donne !

    Attirer les jeunes talents, c’est bien. Les garder au sein de ses effectifs, c’est encore mieux. Aujourd’hui, fidéliser ses jeunes recrues – et notamment celles issues de la génération Z – est un véritable enjeu pour les entreprises. Moins enclins à la stabilité que leurs aînés, ces jeunes actifs n’hésitent pas à quitter leur employeur rapidement si l’expérience professionnelle ne correspond pas à leurs attentes. 

    Selon une récente étude, 40% des jeunes actifs de la Gen Z envisageraient un changement de carrière.

    Alors, comment retenir ces jeunes talents et éviter un turnover qui peut être coûteux pour votre organisation ? Dans cet article, nous partagerons des conseils concrets pour améliorer vos processus RH, adapter votre management et créer une culture d’entreprise plus attractive pour cette nouvelle génération d’actifs.

    1. Fidéliser ses jeunes recrues en intégrant l’enjeu de la rétention dès le recrutement

    Le travail de rétention commence dès l’embauche. En effet, les mauvais processus de recrutement (en particulier ceux qui n’anticipent pas les enjeux de fidélisation des nouvelles recrues) est l’une des principales causes de turnover prématuré.

    Pour fidéliser ses jeunes recrues, il est donc essentiel de :

    • Attirer des candidats réellement alignés avec la culture de votre entreprise. Soyez transparents sur les valeurs de votre organisation, l’ambiance de travail et les attentes du poste. Vous pouvez par exemple organiser des mises en situation et inclure des tests pratiques dans votre processus de recrutement pour mieux évaluer l’adéquation candidat-entreprise.
    • Valoriser les perspectives d’évolution dès l’entretien. Les jeunes recrues ne cherchent pas qu’un job, ils souhaitent surtout construire leur carrière professionnelle. Retenez que 45 % des jeunes quittent leur entreprise faute de perspectives claires d’évolution. 
    • Impliquer l’équipe dans le processus de recrutement pour fidéliser ses jeunes recrues. Dans l’hôtellerie, par exemple, Accor invite les futurs collaborateurs à une immersion d’une journée pour qu’ils découvrent l’environnement de travail avant de signer leur contrat de travail. Cette bonne pratique permet de renforcer l’engagement des nouvelles recrues dès l’embauche.  

    2. Soigner le processus d’onboarding

    Une intégration ratée, c’est souvent un départ précipité de l’entreprise. En effet, 20 % des nouvelles recrues démissionnent dans les 45 premiers jours. Un onboarding bien structuré (qui peut d’ailleurs commencer avant même que le nouvel employé prenne son poste) améliore considérablement la qualité de son expérience sur le court terme et son engagement sur le long terme. 

    Comment augmenter la rétention des nouveaux employés
    • Préparer l’arrivée en amont pour fidéliser ses jeunes recrues. Matériel prêt, planning défini, équipe informée. Même un simple guide d’accueil digital peut fluidifier les premières semaines et permettre aux jeunes recrues d’aborder leurs premiers jours de travail plus sereinement.
    • Créer un parcours d’intégration immersif pour fidéliser ses jeunes recrues. Chez Decathlon par exemple, chaque nouveau collaborateur passe du temps sur le terrain, en magasin ou en entrepôt, pour comprendre l’ensemble de la chaîne de valeur. C’est un bon moyen de trouver plus rapidement ses marques, mais aussi de connaître les équipes et de s’intégrer. 
    • Assurer un suivi personnalisé. Pensez par exemple à planifier un point hebdomadaire avec le manager ou à collecter des feedbacks réguliers pour identifier et lever rapidement les éventuels blocages que rencontrent les jeunes recrues. de lever les blocages rapidement.

    3. Miser sur la formation continue pour faciliter l’évolution en interne

    Les jeunes talents sont en quête de progression. En leur proposant des opportunités d’acquérir de nouvelles compétences et de consolider leurs acquis, vous leur envoyez un signal fort. Celui d’investir dans leur avenir et de leur permettre d’évoluer avec votre entreprise.  

    • Proposer des formations adaptées et interactives pour fidéliser ses jeunes recrues. Formats courts, e-learning, coaching… Chez Orange, un programme de micro-learning mobile permet aux jeunes recrues d’apprendre à leur rythme, avec du contenu gamifié.
    • Encourager la mobilité interne pour fidéliser ses jeunes recrues. Dans le retail, Sephora facilite également l’évolution et donc la rétention de ses jeunes recrues en créant des ponts entre les magasins et  le siège. Une bonne stratégie pour booster la motivation de ses équipes et renforcer leur attachement à l’entreprise. 
    • Responsabiliser rapidement ses jeunes recrues. La clé pour que les jeunes actifs se projettent sur le long terme dans votre entreprise, c’est de leur faire confiance ! Confiez-leur des projets à forte valeur ajoutée (sous la supervision d’un mentor dans un premier temps) pour renforcer leur engagement.

    4. Adopter un management horizontal et participatif pour fidéliser ses jeunes recrues

    La hiérarchie traditionnelle ne séduit plus les nouvelles générations. Elles souhaitent en effet rejoindre des organisations qui valorisent un leadership plus accessible et une prise de décision collaborative.

    • Encourager la co-construction. Dans l’industrie, Michelin a mis en place des groupes de réflexion où les jeunes ouvriers participent aux décisions d’amélioration des process. C’est un bon moyen de valoriser leurs perspectives et de transformer les nouvelles générations en un moteur d’innovation. 
    • Multiplier les feedbacks. Exit l’entretien annuel, place aux feedbacks continus. Chez Google, le management repose sur des échanges réguliers et une culture du retour constructif, qui permettent aux jeunes recrues de se sentir écoutés (et surtout entendus !)
    • Donner du sens et de l’impact pour fidéliser ses jeunes recrues. Mettez en avant la mission et les valeurs de l’entreprise pour booster l’engagement de vos nouvelles recrues. Vous pouvez par exemple les encourager à prendre part à vos projets RSE ou organiser des challenges solidaires en lien avec des associations locales. 

    5. S’appuyer sur le mentorat externe pour fidéliser ses jeunes recrues

    Le mentoring est un levier puissant pour intégrer et fidéliser les jeunes talents. Saviez-vous que 83 % des employés bénéficiant d’un mentorat restent plus longtemps dans leur entreprise ?

    Avec un programme comme Woork, le mentorat sort du cadre hiérarchique traditionnel : le jeune est accompagné par un mentor issu d’une autre entreprise, ce qui lui permet d’échanger librement sur ses défis professionnels et d’acquérir des compétences en savoir-être sans la pression du regard interne. Ce tiers neutre favorise un climat de confiance et un apprentissage plus fluide.

    “L’insertion des jeunes dans le monde professionnel est un défi collectif. En tant qu’entrepreneurs, nous avons la responsabilité de travailler au monde de demain. Le programme Woork nous donne de nouvelles clefs pour mieux intégrer nos jeunes recrues et en faire des responsables porteurs d’un avenir positif. Nous n’avancerons pas sans les jeunes” Pascal Teurquetil, Président de Glen Dimplex Holding France,

    Fidéliser ses jeunes recrues demande une approche proactive et structurée. En intégrant l’enjeu de la rétention dès le recrutement, en proposant un onboarding efficace, des opportunités de formation et donc d’évolution, un management participatif et un accompagnement via le mentorat, vous maximisez vos chances de retenir ces talents et de bâtir une équipe engagée et performante sur le long terme.

    Avec Woork, les jeunes actifs construisent une expérience positive dans le monde du travail et vos collaborateurs plus expérimentés prennent du recul sur leurs pratiques managériales. Résultat pour votre entreprise : son turnover diminue !